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19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 06:50

 

ill_film_lloyd_harold_clock.jpg

Harold Lloyd dans « Safety Last »



Depuis que le Pouvoir
peut se moquer de nous
attrapant notre vie
par les cheveux de l’heure
pour prolonger le jour
et racornir la nuit
la nature interdite
ne nous reconnaît plus
comme « enfants du Soleil » !...

Tous les êtres fragiles
depuis plus de trente ans
subissent je le sais
cette stupidité !...

Technocrates obscurs
au service du vide
pensez-vous que Phébus
à qui nous devons tout
modifiera la course
de son char merveilleux ?...

Comment pouvez-vous croire
que pousser une aiguille
en ajoutant un tour
nous fera oublier
que l’heure « disparue »
pour les hommes soumis
n’existe pas encore
dans le cœur d’une étoile !...

Pourquoi ne pas nous dire
au lieu de ce mensonge
de nous lever plus tôt
abandonnant nos rêves
sur le bord du sommeil ?...

Marcher à contre sens
froisse à jamais nos âmes
lorsque le nourrisson
face à l’heure perdue
cherche sa nourriture
d’une voix haletante …

C’est bien tout l’univers
dans sa petite main
qui accuse les hommes
d’être des créatures
au-delà de l’Amour !...

© Victor Varjac
Antibes, le 29 Mars 2009.

(La Rouille des Jours)



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18 février 2012 6 18 /02 /février /2012 06:48

 

renoir-auguste-17.jpg

© Auguste Renoir



Pose tes lèvres sur ma bouche
Pose tes lèvres sur mon cœur
Vois comme il bat il bat ce cœur
Pour toi mon amour ma peur

Je sais tu ne m’as rien promis
Aucune de ces amours toujours
Tu ne m’as même pas fait la cour
Je t’aime tu m’aimes et tout est dit

Mais je ne peux vivre sans toi
Otée de toi ôtée de tout
Je pose tout ne retiens rien
Rien qui mérite le nom de vie

Et quand au fil de nos caresses
Ta tendresse vient à fléchir
Je tremble soumise à tes désirs
Que tes désirs ne soient plus qu’un

Un mot un seul mais qui déchire
Un mot qui rime avec mourir
Partir !... si tu partais
Mon cœur de battre s’arrêterait

© Annie Mullenbach-Nigay



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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 10:30

 

60396521.jpg



Je ne sais si mon horloge sonne les mêmes heures que ma montre
Dans ma ville de fous ou tous les rêves se retrouvent empalés aux pieds des Cathédrales
Les rêves éventrés face à la bouche hideuse des Christ solitaires de l’après-désastre
Ah ! L’insupportable claque du destin sur le fil tenu entre le réel et l’irréel


Nomade de mes errances, je m’en vais danser le tango de la folle
Etirant l’ennui de mes nuits interdites de sommeil et hors d’amour
Je tangue à travers les rues désertes ou mes bras moulinent a la recherche de l’oubli dans les pointillés de lune filtrant les regards lugubres des fenêtres borgnes balafrant le passage de la mort avide


Je danse ma langoureuse mélopée sur les traces disloquées
Seuls témoins des pas en lambeaux et ivres des orphelins du bonheur
Je me colle à ma peau dans l’inutile combat de mon âme aux larmes rebelles à l’amnésie


J’ai froid dans chaque repli de mon corps qui piège la saveur des souvenirs d’eau douce et de déraison
Une semaine, rien qu’une semaine pour te trouver et te perdre oh mon amour de ma saison de mangue mûre et de confetti d’argent


Le tango de la folle gargouille la tournure risible de la rime vide d’inspiration et avide de compassion Innombrables sont mes efforts dérisoires sur la scène de cette histoire ou Valentin a quelques années de distance a déposé l’amour en moi
Il vient, il s’en va, tapir au plus profond de mon tréfonds
Branlant mes pensées osées dans l’extravagante dance des désirs irrépressibles de l’attraction des interdits entre toi le libertaire et moi l’exclusive


Impossible au sein de l’horreur
Impossible de censurer les pulsions intimes de mon crépuscule épousant la chaleur de ton mitan du jour Notre amour naît d’un coup de hasard et tout devient possible
Le tango de la folle chevauche l’envie de séduire les ballottements internes
Marée haute, marée basse, l’ensorcelante magie de l’absolue beauté de ton sourire email Recousant les fissures étranges des empreintes de mon âme


Tanguent toutes ces notes séduisant le silence pour en tirer la sonate d'une folle mémoire
Mais le malheur est tout près, tapi
Dans ma ville de fous ou tout est gris
Et une folle de plus dance seule sur la piste zébré du sang mêlé des êtres trop tôt partis


J’ai les bras engourdis pour avoir serré de trop près cet amour éphémère et son ombre ensevelie parmi mes chimères
Dignes, indignes, on meurt tous dans ma ville de fin du monde et cela semble assez ordinaire
Unis dans un même vice ou une jumelle vertu, on consume sa sève l’œil aride et le pas émouvant
Sous le ciel d’un bleu éclatant
Et l’on se dit en dodelinant :
« portez- vous bien !


© MARIE ALICE THEARD



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16 février 2012 4 16 /02 /février /2012 07:40

 

portrait-polichinelle.jpg

http://stephane-antoine.com/EXPOSITIONS.html



L’homme porte en l’état, singulière triade,
Tressés ensemble reins, âme aussi cœur,
Dont le canevas tend, libre pléiade,
L’étoffe d’options que règle son humeur.

De ce monde intangible, aux fins de transparence
Le sort les décryptant en a vêtu nos peaux,
Ecailles, plumes, poils, c’est la fine émergence
Des humaines valeurs traduites en fourreaux.
Tout brasse aux fonds des cuves
La nature y puisant leurs si distincts portraits,
S’active en règle les effluves :
Dénonçant aux dehors, tels dedans à longs traits.
Mais l’Eden décidait libre, qu’un arbitrage
Brouillant la ligne y pût interférer,
Au point qu’après jargons en l’air, autre plumage
En puisse différer.

Finis les liens ; la balance indocile
Récuse le signal, ajoute en codicille
Un ne varietur près de trahir tout œuf,
Dont il en sortira, le plus souvent du bluff.
Dès lors, c’est le pays de la sombre apparence,
Le mensonger miroir,
Ses cagoules de riens, messagers de l’offense,
Un déni de fibule épinglée en sautoir ;
Car aussi belle était la crosse,
Comme aujourd’hui, demain sera !
Mais qui, le poing de Carabosse
En toute fin, ne le verra ?

Mea culpa ! Ayant fait dire à mon exergue,
Que la nature elle, ne ment,
Tel propos doit en bout de vergue,
Purger le prix du boniment.
Puisqu’aussi loin qu’elle fut faite,
Chafouine elle avait quelques tours,
Pour tourner victoire en défaite,
Et prendre assez, sots à rebours.
Je verrais bien nos politiques,
Porter au revers des vestons,
La drosera. Révisez dans vos botaniques
Leurs attributs un rien marrons,
Les traîtres mots de leurs calices
Gavés de pollens et de miels,
Jusqu’à l’urne consorts, au-delà peu complices,
Dont l’antique recette engrange tous les fiels !
Est-ce un hasard à la française,
Que ces deux mots riment à l’aise ?
Quand l’une amorce un « m » qui vous fait le méchant,
Et la seconde un « f » sur un air mécréant !

Un bipède averti, c’est le bel avantage
De n’aller plus comme à loisir,
Tomber aux pieds de leurs ramages,
A peine d’y - refrains gobés – piteux, gésir.

© Claude Gauthier



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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 07:57

 

Jean-Claude-BEMBEN.jpg

© Jean-Claude Bemben



Fuir l’oppression du siècle,
Fuir l’incertitude programmée,
Du train des civilisations,
Des wagons de l’ailleurs
Vomissant leurs lots d’indignés.
Fuir l’illusion des temps
Et l’usurpation de l’histoire,
Pour oser aller s’exiler
Vers les vallées de l’espérance
Aux lisières du silence.

© Michel Bénard.



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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 08:24


J'adresse mes remerciements particuliers et chaleureux à Ode qui m'offre l'exclusivité de la publication des "Petit Recueil". Voici le premier des 7.

recueil_ima.jpg
© Création de Ode - « Testament de Pénélope » sculpture de porcelaine.



Nous aimer à la lampe de la lune
fanal lumineux
qui éclaire nos nuits
et installe les jours

Sentir monter la marée
à bout de ciel
à bout de souffle
à goût de sel

La nuit est de braise
le jour est de cendres

Rêvons de la renaissance
de notre source d'enfance

~*~

La rouille ne viendra jamais à bout
de la mémoire,
de notre mémoire-palette,
embellie de l'arc-en-ciel
des jours-désirs et de nos folles nuits

~*~

Un oiseau donne naissance à la lune
Un oiseau amincit mon chagrin
Un oiseau m'ouvre le chemin des étoiles
Un oiseau m'annonce que tu seras là demain

Géométrie lunaire
Topographie des lieux
Voilier à la mer
À l'horizon de nos feux
Une étoile filante
Faisons un vœu !

~*~

Un nom sur nos amours
Couvrez-moi de votre ombre
Aimons-nous mon amour
Même dans ces jours sombres

Le silence est de feu
à force de distance
et d'espace

La tourmente en mon corps

Seul un orage fort
saura calmer ce brasier

~*~

L'homme penché sur sa source
parachève son œuvre
sous la lampe de nuit éclairée

Que vienne le jour
pour admirer l'œuvre achevée

Ne jamais se reposer
toujours rester en éveil

La création n'attend pas,
elle

~*~

Mes amours dureront
jusqu'au nœud de ma mémoire
L'enfant en moi est la garantie
de la permanence

~*~

Soleil-mémoire
Paroles éclatées
Pensées-tiroirs
Le feu de ton regard
Le puits de tes yeux
Source bleue
Jaillissante fraîcheur
Limon d'espérance

~*~

Je te coucherai
au creux de mes mains
pour voir ton visage
plus près de mon amour

Je te noierai de mes eaux
afin que l'éternité
n'épuise jamais
notre joie d'aimer

~*~

Le volcan de mon amour
- Lave à mouler mes hanches -
Est aux formes de la naissance
De nos liens éternels
De nos amours charnels

Le brasier d'une naissance
L'enfance se fait jour
L'amour se fait chair
Naissance des mots

Beauté de l'attente

~*~

Ferme les yeux
Mon adoré !
Ferme les yeux !
Revis en pensée
Nos passions
Nos cœurs tendres
Nos corps en action !
Ferme les yeux !
Aimons-nous
À distance !

L'amour est la réjouissance
de la chair
habitée par l'absence

~*~

Toutes mythologies
Toutes légendes
Cherchent figures
À saveur de mémoires
À hauteur de rêves
Et de Vies

~*~

Au niveau de l'hiver
À la hauteur de la mer
Le soleil cherche l'oiseau
Ouvre large son arc-en-ciel.
Au-dessus des prés blancs
Vole l'Harfang des neiges

~*~

D'octobre à mai
le temps est passé
comme un vol d'oiseaux

~*~

En attendant que tu arrives
je dormirai sur le seuil du soir
Remonte le courant
que je sente ta main
recommencer le monde

~*~

L'interdit a des goûts de désir
d'intenses plaisirs
Jours et nuits en sursis
de délire, de passion

Transgressons !

~*~

Marchant dans la bourrasque
à rebours de nos amours défendues
fragments d'éternité
sous les ailes de l'Oiseau Vermeil

~*~

Ma vie à bout de souffle
tombe dans l'abîme
de vos bras aimés
Elle tombe à bout de semence
dans vos aime-greniers

© Ode


Il est strictement interdit de copier et publier ces « Petits Recueils » qui sont sous copyright sur quelque site que ce soit.

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13 février 2012 1 13 /02 /février /2012 07:31

 

declaration.jpg

Déclaration des Droits de l’Homme



De turpitudes tu as régné
De mépris tu t’es conduit
Qu’importe le peuple
Pour toi qui ne vois
Que les puissants !

Tu es seul, désormais
Et tu ne comprends pas…
D’œillères
Tu as couvert tes yeux
Et tu as enfermé
Ta conscience
Dans les oubliettes
De ton égoïsme

Tu dis regretter
Ta triste conduite
Mais qui parmi le peuple
Peut encore te croire
Peut encore
T’accorder crédit
Toi qui vogue
Sur le mensonge ?

La trahison
Se paye comptant !
Tu riais, tu te moquais
De ce peuple honnis
Parfois, tu l’insultais
Du temps
De ta splendeur
Et de ton pouvoir
Proche de l’absolu

Souffre qu’aujourd’hui
Est venu le temps
Des autres, des misérables !
Si amère soit-elle
Ta récolte
Est à l’image
De tes excès
De tes forfanteries
De tes trahisons

Tu as exigé
Un pouvoir sans limite
Te voici, bientôt, redevenu
Citoyen sans importance
L’un de ceux
Dont tu te gaussais jadis
Ou que tu outrageais
Avec des yeux mauvais

L’ascension vers la gloire
Fut lente à advenir
Ta chute sera brutale
Sous les rires
Et les lazzis
De ces gens de peu
Que tu regardais
De bien trop haut

Sois heureux
Que la foule des pauvres
Reste plus généreuse
Que tu ne le fus !
Elle te laisse la vie
Et ne cherche que l’oubli
D’un règne maudit
Qui laisse
Un infini de ruines…

© Jean Dornac
Paris, le 7 février 2012



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12 février 2012 7 12 /02 /février /2012 08:16

 

ingres.jpg

Cherubini et la Muse de la poésie
© Photo RMN - C. Jean - http://www.histoire-image.org/pleincadre/index.php?i=442




A tous ceux qui ont renoncé à la lecture,

"Je n'ai plus le temps de lire, plus le temps de prendre un ouvrage et de suivre le chemin des mots ! "
La lecture s'est, hélas, réfugiée au pays des souvenirs.
Le Temps ne semble plus nous appartenir.
Il s'emballe, s'affole... se métamorphose en ogre cruel poursuivant une proie toujours plus agile, toujours plus aguichante et qu'on nomme "AVOIR"
Cette course redoutable, épuisante le rend irritable, insatisfait, violent. "Temps carnivore" "Temps cannibale" qui ne connait que la rentabilité, jetant nos heures dans le brasier de son égoïsme et nos lectures dans les culs de basse-fosse !
Comment, dans ces conditions extrêmes, comment oser ouvrir un livre, commencer un roman, une biographie, une nouvelle ?
Rassurez-vous, il existe une véritable solution qui a pour nom : POESIE.
Le Temps redoute son audace, recule devant sa fantaisie, ne supporte pas ses rêves... car elle transforme nos blessures, nos misères, nos échecs, en voyages mystérieux, en courage, en lumière parfois même en éternité !
Le chant d'une strophe, la grâce d'un sonnet, le murmure d'un ver, le sourire d'une image, tout cela s'appelle MAGIE !
Au royaume des poèmes, la vie, possède un tout autre visage.
La POESIE n'est-elle pas la "Patrie du Coeur et de l'Esprit ?"
Quelques secondes de lecture quotidiennes changent tout. Vos ennuis s'évanouissent presque aussitôt, et la journée devient un plaisir !
Notez qu'il n'existe "aucun effet secondaire connu" et par conséquent, vous pouvez en toute confiance renouvelez "le voyage-seconde", "la traversée-minute" aussi si souvent que nécessaire.
Les recueils sont des "livres d'heures", des compagnons de route, des confidents discrets qui ne vous refuseront jamais leur amitié de mots, leurs sentiers d'images, leur amour des hommes.
Alors, n'hésitez plus, tournez-vous vers la POESIE.
Avec elle, retrouvez le "temps de lire et de rêver...
Le temps du bonheur retrouvé.


BONNE LECTURE !

© Victor Varjac



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11 février 2012 6 11 /02 /février /2012 06:37

(Pamphlet)
moutons.jpg
http://ypfh2so4.blogspot.com/2010/03/vente-de-foin.html



Les voyages forment la jeunesse.
En poupe, les stages de formation...
C'est ainsi que les robots naissent
Sans espoir de transformation.

Les humains deviennent des machines
Et changent leur environnement.
C'est ainsi que l'on s'imagine
Pouvoir fixer les sentiments !

Nos Bergers mènent les troupeaux
Et leur promettent sécurité
Pour mieux exploiter les cerveaux
Dans l'apparente facilité.

Les moutons blancs sont bien traités,
Mais les maîtres négocient leur tonte.
Les moutons noirs sont maltraités,
Mais ils sont fiers et n'ont pas honte

Le choix se fait dans les alpages;
On promet de gros bénéfices,
Mais pour ceux qui deviennent sages
Transformer n'est pas artifice...

La vie change selon les saisons.
L'être se transforme avec l'âge.
A l'usage, il devient raison
Et se méfie des faux rois mages.

Les relations sont extérieures
Et demandent une adaptation.
Tout le travail est intérieur.
La Perle exige transformation.

L'être s'accomplit dans ce monde,
Mais pour garder sa liberté,
Il doit construire son petit monde,
Garder sa spécificité.

© Pierfetz

"Etre dans ce monde sans être de ce monde"
Lettre à Diognète, nn. 5-6 (Funk, 1, 317-321)


http://arciel88.fr/bibpoesiespierrot/VI%20-5%20bis-Transformation.htm



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10 février 2012 5 10 /02 /février /2012 08:26

 

otto-scholderer-violoniste-fenetre.jpg

© Violoniste à la fenêtre - Otto SCHOLDERER



La mèche fixée à l’archet,
Dans quelle steppe ondoyait-elle,
Etendard d’un cheval sauvage,
Au rythme des sabots-tambours ?
Quel vent d’abord la caressa ?
Quel aquilon la souleva
Dans les plaines de Mongolie ?

Ô divine mèche en folie,
Flamme emmenée au grand galop
Par le violoniste inspiré,
Tu glisses désormais, sublime,
Au carrefour des vibrations
Sur le creuset des quatre cordes,
Rose-des-Sons en fusion !

© Luce Péclard
9.12.09


Pour mon fils violoniste



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  • : Ce blog est dédié à la poésie actuelle, aux poètes connus ou inconnus et vivants.
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