© Alain Percy
Rien n’est épargné
tout s’abandonne
et tout se perd
et pourtant
cette violence
qui porte la vie
métamorphose l’éphémère…
L’oubli ne peut effacer
ce qui est unique…
De son invisible puissance
le torrent du cœur
culbute la matière
et brise l’engourdissement
qui coule vers la mort…
L’homme intérieur
accomplit la plénitude
au-delà du déclin
car son existence
est une offrande
et sa marche appartient
à l’émerveillement
du devenir !...
© Victor Varjac
Antibes, le 8 juillet 2000
Extrait du recueil « l’Homme Imaginaire » aux éditions MELIS
Voir en fin de page d'accueil du blog, la protection des droits