4 septembre 2022
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À Pascal FEYAERTS
Il faut en avoir du flair
pour la sentir venir,
presque toujours complètement dénudée, avec son apparence à première vue anodine
et pourtant si éloquente,
avec un érotisme au début avant tout visuel, ensuite exclusivement oratoire.
Elle incarne l’amour,
l’amour de son prochain
autant que de l’art,
elle est la mystérieuse combinaison
de perfection et d’esquisse inachevée, ouvrant la salle des coffres
à l’intérieur desquels sont entreposées
et protégées en permanence toute les pensées qui me font savoir tout bas
ce que je dois répéter tout haut.
©Michel Duprez
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