1 septembre 2015
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Photo J.Dornac©
Dans les allées de mes écrits
J’ai appelé l’amour, j’ai crié la vie
J’ai parfumé mes pas de foin d’odeurs
Fais cueillette des mots aux branches du cœur
Dans les allées de mes écrits
Je m’y suis perdue, toi aussi
Tu as bu à la robe écarlate des mots
Pour te soûler, t’évader de tes maux
Tu as fait mon rêve tien
Tu as touché de mon Ange, la main
Tu as retrouvé le goût de vivre
Jusqu’à en devenir ivre
Tu m’as emportée avec toi dans les jours renversés de nos terres humides
Des semailles jusqu’aux vendanges, là où le soleil rétrécit la lumière
Je t’ai fait visiter mon île, mes eaux, ma chaleur, mes hautes herbes
Au fil de ma vie,
Au tournant de mes écrits
Tu as humé mes vents
Et tu as fait danser tes tourments
Sur mes nuages ouatés, tu as fait ton lit
En moi tu as fait ton nid
Et je t’ai accueilli
Dans les allées de l’écriture
Est né un amour plus grand que nature
Et tu m’as touchée, là où le cœur bat
Dans le renversement lunaire des ébats
Avec toi j’ai atteint la grandeur, le sublime
Ensemble nous sommes montés jusqu'aux cimes
À mourir d’amour dans les parfums de chair
Qui montent de la haute mer
Et le temps brise tout sur son passage
Dans les allées de nos écrits, s’est déchiré mon corsage
L’épine de la rose en a brisé le tissage
Je reste là, regarde ton beau visage
Tiens ta main jusqu’au bout du paysage
Dans les allées de mes écrits
Dans les sentiers de ta vie...
Le temps d’une vie, le temps du cœur durent le temps de la fleur
jusqu’au verso de l’amour…
J’ai appelé l’amour, j’ai crié la vie
J’ai parfumé mes pas de foin d’odeurs
Fais cueillette des mots aux branches du cœur
Dans les allées de mes écrits
Je m’y suis perdue, toi aussi
Tu as bu à la robe écarlate des mots
Pour te soûler, t’évader de tes maux
Tu as fait mon rêve tien
Tu as touché de mon Ange, la main
Tu as retrouvé le goût de vivre
Jusqu’à en devenir ivre
Tu m’as emportée avec toi dans les jours renversés de nos terres humides
Des semailles jusqu’aux vendanges, là où le soleil rétrécit la lumière
Je t’ai fait visiter mon île, mes eaux, ma chaleur, mes hautes herbes
Au fil de ma vie,
Au tournant de mes écrits
Tu as humé mes vents
Et tu as fait danser tes tourments
Sur mes nuages ouatés, tu as fait ton lit
En moi tu as fait ton nid
Et je t’ai accueilli
Dans les allées de l’écriture
Est né un amour plus grand que nature
Et tu m’as touchée, là où le cœur bat
Dans le renversement lunaire des ébats
Avec toi j’ai atteint la grandeur, le sublime
Ensemble nous sommes montés jusqu'aux cimes
À mourir d’amour dans les parfums de chair
Qui montent de la haute mer
Et le temps brise tout sur son passage
Dans les allées de nos écrits, s’est déchiré mon corsage
L’épine de la rose en a brisé le tissage
Je reste là, regarde ton beau visage
Tiens ta main jusqu’au bout du paysage
Dans les allées de mes écrits
Dans les sentiers de ta vie...
Le temps d’une vie, le temps du cœur durent le temps de la fleur
jusqu’au verso de l’amour…
Ode©
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