26 février 2015
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Dédié à Adeline Mela et Ihssane
Quand le politique devient une machine à ne formuler que des illusions le citoyen ne peut finir que tel un impuissant cobaye...
Quand le politique s’assoie sur les larmes, les angoisses, les cris plaintifs et sur tout ce qui fait l’espoir d’un citoyen en général et du plus démunis en particulier parfois au nom d’un passage dont il ne fut que l’assidu spectateur et souvent aux noms de certaines valeurs qui n’ont aucune valeur, c’est que la perte du sens du noble sens n’est plus à démontrer…
Ne pleure pas petit
Depuis l’amer temps
De la grande nuit
Il a oublié qu’il fut enfant.
Ne pleure pas petit
Le vent n’a pas d’âge
Que papa ait tout dit
L’orage n’a qu’une image.
Ne pleure pas petit
L’histoire a ses histoires
Ecrit et chasse tes ennuis
Lutter est un devoir.
Ne pleure pas petit
Tout sous la virgule
Regarde, scrute et plie
L’heure n’a pas de recule.
Ne pleure pas petit
Ici, chez toi, ailleurs
Nul ne vit deux vies
La foi, nid du bonheur.
Ne pleure pas petit
Fixe où tu mets tes pas
L’avenir n’a qu’un prix
Demain tu seras papa.
Ne pleure pas petit
Dieu est maître du soleil
Qui caresse des yeux suit
Il y a merveille et merveille.
Ne pleure pas petit
J’ai rêvé, je ne rêve plus
Dans mes vers j’ai trop dit
J’ai hurlé je ne crierai plus.
© Mouloudi Mustapha
Alger le 14/01/2015
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