21 octobre 2014
2
21
/10
/octobre
/2014
07:23
La tendresse de Joseph Bernard – Musée des Beaux Arts de Lyon
Photo J. Dornac
Les voiles prennent le ciel
Et le quai emporte les millénaires du port à la dérive
Le vent y est en ma faveur
L'ivresse de la lune pleine fait gonfler mon fleuve
Jusqu'à la blancheur de l'Oiseau.
Fière et droite, à la fois flexible comme un roseau
Au bord de ce fleuve qui me fait vivre
Comme l'air que l'on respire
Là où mes rêves naissent et meurent comme la vague
Là où tout abandon n'est qu'amour
Hume l'air où mon passage laisse
Un parfum de femme
Suis la trace de mes pas
Qui te mèneront vers l'au-delà
Mon pays des rêves d'amour
Où tu t'endormiras éveillé
En écoutant les notes qui suivent mes mots
Au pays de mes joies, de mes espoirs
De mes peines
Et qui chantent quand je suis gaie
Quand je respire à perdre haleine
Suis-moi, précède-moi même,
Le temps n'est qu'un filet de brume
Une fine dentelle qui nous sépare et nous unis
Et le quai emporte les millénaires du port à la dérive
Le vent y est en ma faveur
L'ivresse de la lune pleine fait gonfler mon fleuve
Jusqu'à la blancheur de l'Oiseau.
Fière et droite, à la fois flexible comme un roseau
Au bord de ce fleuve qui me fait vivre
Comme l'air que l'on respire
Là où mes rêves naissent et meurent comme la vague
Là où tout abandon n'est qu'amour
Hume l'air où mon passage laisse
Un parfum de femme
Suis la trace de mes pas
Qui te mèneront vers l'au-delà
Mon pays des rêves d'amour
Où tu t'endormiras éveillé
En écoutant les notes qui suivent mes mots
Au pays de mes joies, de mes espoirs
De mes peines
Et qui chantent quand je suis gaie
Quand je respire à perdre haleine
Suis-moi, précède-moi même,
Le temps n'est qu'un filet de brume
Une fine dentelle qui nous sépare et nous unis
©Ode
Voir en fin de page d'accueil du blog, la protection des droits