© Rafal Olbinski Quel est ce sentiment qui lézarde mon cœur, Pour que jour après jour il se meure ? Quel est-il qui brouille mon esprit qui se leurre ? Et cette douleur Plantée dans ma poitrine comme un pieu, Et qui fait couler du sang de mes yeux ? Si...
©Vladimir Kush Tes lèvres gardent le secret du vent de la désinvolture et du symbole palpitant qui dure sous la chair longuement mûrie. Entre mes doigts, la pierre bouge, polie à longueur de journées. C'est en son cœur que tu sommeilles, un peu de sable...
http://artofleurs.centerblog.net/6403822-COMME-UNE-FLEUR L’amour humain ensorcelle, se donne - épanouissement L’amour humain immole, se reprend - effondrement Eros ! - érotisme Seule l’essence de l’amour est éternelle - Agape Et épouse aussi le visage...
© Carole MOUTTE - http://misty1.e-monsite.com/album/peinture-a-l-huile Lorsque le paysage prend l’ombre par la taille le jour se décompose et la dernière page referme le voyage… L’heure plonge son corps dans l’oubli des visages… La couleur et le trait...
Photo J. Dornac© Texte dédié à Arnaud Pauthier. Il ne reste plus Au feu du ciel Qu’à révéler les couleurs Par jeux de transparences, Donnant du vitrail la résonnance. Forets échevelées, embrasées, Par les métamorphoses de l’automne. Villes délavées des...
http://chezmanima.centerblog.net/rub-belles-images-suite-reveries--4.html A la lueur d’un espoir, On s’emballe et on s’envole. A la vue d’un sourire, On suppose et on s’abandonne. Le sentir de près ou de loin, Apaise et efface nos chagrins. Sur les nuages...
Photo J. Dornac © Le sentier que tu inventes te mènera-t-il plus loin que mon regard d’homme ?... Les heures vides portent sur la figure la tristesse qui brise le vase imaginaire de cet « imprévisible » où tout peut arriver !... L’attente… bouche ouverte...
©Gaston Lavy (1875-1949) Là-bas, aux fins fonds des tranchées, Ils dégueulaient leurs tripes et leur sang, "Aux ordres de quelques sabreurs", Généraux et Maréchaux portés aux pinacles De notre Histoire Commune et Française. Ils partirent pourtant la "fleur...
Photo J. Dornac© Dans un même pot, trois jacinthes Surgissent de leur bulbe ensemble, Inextricablement liées Par leurs racines En cheveux d’ange Et leur parfum céleste. L’exemple d’une trinité Se perpétue avec la plante : Pistil, étamine et pollen Ouvrent...
MBA de Lyon - Alfred Boucher : Aux Champs – Photo J. Dornac © De la brume des jours, S’échappent des ombres, Des mouvances bleues D’iris et de hyacinthes, Des signes suspendus Aux cimaises des rêves. La caresse furtive D’une étoffe douce Sous les doigts....
http://chantalflury3unblogfr.unblog.fr/2009/03/page/5 Penses-tu à moi en regardant ce grand ciel d’azur Jaillissant sa lumière matinale à travers ta fenêtre ? Je ne suis plus là, cette solitude étrange est dure. Plus rien ne resplendit sur ton âme ni...
Quand aux bords de la rivière Je te vis, pâle rêvant, Dans mon cœur comme un levant, L’éclaira de sa lumière. Lors, je fis ce que savais, Au juste bien peu de chose, Icelle chiche qu’on ose, Comme ose un fichu niais. D’un galet le passe-passe, Giflant...
Chaque "Je t'aime" de toi Est pour moi tout un poème De la Reine au petit Roi, Du petit Roi à sa Reine. L'oiseau bleu, à ta fontaine, S'ébroue dans l'eau de jouvence. L'amour étouffe la haine, La vie devient renaissance. La fusion n'a jamais d'âge Quand...
http://info-espress.over-blog.com/2015/01/liberte.html Je ne suis pas, selon vous, à votre hauteur ? Qu’importe, ô pauvre bretteur ! Je n’ai que faire de votre mépris Jamais, il n’engendre la vie ! Le poète, par essence N’agit qu’au travers de ses sens...
©Liliane Caumont Texte dédié à Liliane Caumont sculpteur. Sous l’étrange lumière d’un soleil d’hiver, Trace profonde en mémoire de glaise, Enfin debout, face au monde Où sa voix portera, La femme se lève féline, Seule au seuil de l’humanité, Par delà...
http://kalarox.centerblog.net/202-sur-la-poesie-se-mettre-en-marche-?ii=1 Dans le monde tout au fond, Dans un coin de l’horizon. Seul à faire ses cent pas, Perdu entre ses va-et-vient. Il imagine des beautés, Auxquelles il essaye de s’accrocher. Il dessine...
©François Schuiten Moi, un promoteur ? Jamais de la vie ! D'un autre côté, j'ai bien pu évoquer il y a peu la question en parlant d'une certaine propriété construite exclusivement avec des mots, mais c'était sur un coup de tête, sans vraiment me prendre...
http://bon-lecture.blogspot.fr Bipolaire, dit le médecin en chef de la Psychiatrie, Organisatrice de ses soirées entre fous, Où nous jouions gaiement aux échecs. Mat ou Pat, peu importait. Bipolaire, pris entre deux pôles. Pôle Nord et Pôle Sud, Paul...
©Photo J. Dornac - Jardin des chartreux lyon 1 Soupirant Sous tes caresses chaleureuses De ta tendresse et de ta douceur Je suis gourmande Cette affection et ce bonheur En offrande Me comblent de joie Et me mettent en émois Toi qui as su me rendre femme...
http://orthophonie.org/tag/prise-en-charge Monsieur notre mental S’y prend à sa façon Pour nous assujettir : Il envoie dans les têtes Des bribes de passé, Des moments de panique, Des peurs irraisonnées. Et nous voilà flottant Sur une houle inquiète. Comment...
http://gw2rp.jdrforum.com/t7313p15-reactions-face-a-la-peste-noire Pourtant les oiseaux Donnent leurs plus beaux chants, Et Mozart la même musique Qui vient jusqu’à mon cœur Que ton cœur assassine. Les rideaux pénétrés par le vent Soulèvent des espaces...
http://thierry.v.80.pagesperso-orange.fr/L%27AMOUR2.htm À vous tous Si un jour on me demandait Pour qui écris-tu Ces précieux poèmes Je dirais qu’ils sont tous Pour celui que j’aime Si un jour on m’abordait Pour me dérober Des détails succulents Je dirais...
http://laura74.canalblog.com/archives/2012/11/27/25680419.html Dans son atelier magique, sur un balcon du ciel, une fée, avec un savoir-faire inné, crée de la neige, une neige unique, fine, poudreuse, légère comme du sable entre les doigts. Voilà qu’elle...
http://sarah19993.skyrock.com La rue est déserte, une porte rugit, Le vide envoûtant des nuits de Bougie. Nuits sans mouvements, sans bruit et où l’air Mélange son parfum à l’iode de la mer. On frôle distrait les verdures dans l’ombre Et les rythmes digitales...
©Salvador Dalí, L'énigme sans fin Que sommes-nous à l’aune de l’univers ? Pas même une misérable poussière… Il en est qui s’imaginent au sommet Et du pouvoir se montrent si gourmets Ils ne songent, ô grand jamais ! à leur propre fin Elle arrive plus ou...