Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
27 janvier 2023 5 27 /01 /janvier /2023 07:26

www.freeimages.com/fr/photo/fall-sunset

 

    Nous ignorons les prières récitées dans la chaleur des corps, les racines
occultes de nos faiblesses et l’haleine des nuit partagées.

 

    Mais vous êtes déjà le centre duquel s’articulent mes routes.
    Vous m’ouvrez des voies ignorées.

 

    Je vous attends avec la nonchalance d’un crépuscule automnal.

 

©Nicole Hardouin.
 
Extrait du recueil « Fontaines carnivores » diffusion : Libraire Galerie Racine

 

 

 

 

 

 

Voir en fin de page d'accueil du blog, la protection des droits

Partager cet article
Repost0
18 décembre 2022 7 18 /12 /décembre /2022 07:46


 

 

 

    Pour un feu aride nourri de brise, l’arbre hivernal donnerait toutes les semailles printanières.
    Je suis déshéritée de vos plus intimes signatures.

 

    Votre corps, cage de résonance, est silence. Je regarde encore votre visage dans une lueur.

 

    Ultime station avant d’égrener la litanie des morts.


 ©Nicole Hardouin.
 
Extrait du recueil « Fontaines carnivores » diffusion : Libraire Galerie Racine

 

 

 

 

Voir en fin de page d'accueil du blog, la protection des droits

Partager cet article
Repost0
13 novembre 2022 7 13 /11 /novembre /2022 07:39

Editions Unicité, deuxième trimestre 2022

 

« Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage »
                                                       J. Du Bellay in Les Regrets

 


Ce nouveau recueil est différent des nombreux opuscules rédigés par l’auteur, il n’est pas une suite de poèmes, mais un récit poétique ponctué par vingt chapitres tous à la gloire de la Provence.


Dans ce livre, deux thèmes se détachent nettement : la Provence, et la recherche de fraternité, du pardon.


Comme Le Guen-Kâpras nous l’a écrit dans son aimable dédicace cette ode à la Provence féconde la flamme du cœur.


La Provence elle ne cessait de m’émerveiller par sa propension à iriser follement les oliveraies immortelles, les sarments charnels, et les richesses arbustives.


L’auteur se plonge dans les origines de cette région qu’il aime, quelque part dans la nuit je renouais avec les origines historiques de Marseille, l’âge d’or de cette cité quis’estompe en l’an 49 av J.C.


Tout le fascine : les paysages, les peintres, les écrivains, le moulin de Daudet et sa sensibilité piquante qui s’élevait comme un écrin, l’odeur des épices marchandes, la nourriture spirituelle dans les lieux culturels, Arles le retient avec son théâtre antique, sa scène vertigineuse/ remparts d’une flamme propre à éclairer/ un jupon d’offrandes, les Arènes, la fondation Van Gogh, le musée Réattu dont le prieuré règne sur une antique destinée.


Et lorsque la ville d’Aix en Provence se déploya sous mes pieds, la vie de Paul Cézanne s’enveloppa d’un drap royal.


Moult réflexions surgissent sous la plume érudite et poétique de l’auteur pour endiablée qu’elle fût, la vie sondait l’indicible, ce qui m’était caché parmi les vérités qui nous construisent : l’acquisition du savoir, la plénitude des émotions, le monde du rêve, l’écoulement du temps, il ne nous reste plus qu’à méditer, réfléchir… une hirondelle s’envole ; un voile de nuages flotte dans le vent. 


Le Guen-Kâpras est hanté par la recherche de la fraternité, cœur tourné vers la source, il écoute le feu du levant se demandant s’il faut brûler pour renaître à la fraternité ?


Vêtu de sable, de nuit, de rêve, il avance sous la lente morsure du vent, sachant que chaque vie est assaillie de rythmes, c’est pourquoi l’auteur prend cette résolution : je vivrais attentif à l’écoute des actes barbares et inhumains.


Bien que, étant totalement opposées, Poésie et Réflexion se fondent, s’interrogent, l’une vit dans les chimères, le rêve, le pourquoi pas, l’autre dans la maîtrise des pensées, c’est ce que réalise l’auteur dans ses questionnements pour rebâtir un monde, de fraternité, d’amour, d’ordre : je me sens démuni face à un monde sanguinolent …, le bien fondé de notre société n’est pas seulement de mettre l’homme debout, mais de chercher ce qui élève sa quête de l’au-delà  et ici l’auteur songe à V.Hugo : la solidarité des hommes est le corollaire invincible de la solidarité des univers.


L’auteur est un méditatif, un pacifiste, aucun peuple, aucune ethnie, aucune religion n’est exemplaire si chacun, a ses héros.


Il marche en quête perpétuelle vers une vie meilleure, pacifiée, une vie où le pardon grandit l’homme, c’est pourquoi je cherchais la fraternité féodale.


Réconforté par son périple, ses réflexions :  face aux tristes larmes que j’avais oubliées, je préférais cultiver le pollen du soleil, c’est peut-être la voie de l’espérance.


Le recueil de Le Guen-Kâpras nous fait penser à une phrase de Khali Gibran : la poésie n’est pas une opinion qu’on exprime, c’est une mélodie qui s’élève d’une plaie béante ou d’une bouche de sourire », mais les oiseaux ont parfois des ailes de glace…


Nous ne pouvons que conseiller au lecteur de lire, méditer sur ce recueil qui le fait voyager, réfléchir sachant que nous déroulons sans cesse un fil à nœuds qui se balance contre les parois du vivre.


Nous reprendrons ici une phrase du poète Claude Luezior : Écrire, c’est officier sous la voûte des étoiles, c’est chercher le gui à mains nues, sur les ramures du chêne. Lire, c’est participer à la grand messe de l’esprit. Et prier à sa manière. Lire, c’est remplir son âme d’alcools fort. C’est ce qui se passe à la lecture de Cet Outrerose qui fascinait le saphir du cœur.

                                                   

©Nicole Hardouin.              
 

 

 

 


 
Voir en fin de page d'accueil du blog, la protection des droits

Partager cet article
Repost0
5 octobre 2022 3 05 /10 /octobre /2022 06:28


                             

Édition L’Harmattan, collection Accent Tonique, juillet 2022


      La barque de Charron conduit toujours aux enfers, il n’y a pas de nautonier du bonheur. Bachelard


L’auteur, tel un oiseau sans ailes qui pourtant vole, est toujours entre rêve et réalité, en étant accompagnée par des accords venus de nulle part mais prégnants, des doigts  s’agitent sur les touches d’un piano au désert mille sonates se bousculent/ dans le labyrinthe d’une oreille spatiale invisible.


Dans ce recueil où se croient Debussy, Goldberg, Lalo, Chopin  et  bien d’autres, on sent que l’auteur est musicienne dans l’âme, c’est ce qui lui fait un manteau invisible mais protecteur, elle est torture plaisir et souffrance. Son dire est embrasement, feu brûlant et pourtant si loin de l’âtre invisible où elle brûle et se cendre à l’assaut de l’échelle du ciel. Elle est notes, accords dans l’extase du manque toujours à la recherche d’une marque, d’un souvenir, elle les voit, les touche et tout fuit, histoire de voir si Eurydice vous suit/ elle l’obstinée de la perte/ comme toutes les illusions. Quête sans fin, quête du tout qui devient rien, un rien opulent, torturant, envahissant, mais c’est le rien du Tout.


Son dire est fait de mots réverbères pour raviver les ombres réelles mais imaginaires, les souvenirs, mirages/ réels, fuyants mais obsédants, ce sont des mots calices pour offertoire interdit, des mots qui font des souvenirs sans légende, mots au goût amer et torturants, même lorsque les bourreaux sont partis / les victimes ensevelies, lamento funèbre, mots à jamais inclus dans sa chair alors que les bottes orgueilleuses s’enfoncent / dans la boue des champs de massacre. Pourtant, pas à pas, contre toute logique, l’auteur passe le gué.


Elle laisse filtrer l’architecture de sa pensée, sensibilité à fleur d’âme, traces noires, zones d’ombre au gout âpre, égarements qui s’entrelacent, se percutent se tordent sur des radeaux en précaire équilibre, ample liturgie lorsque le sang flagelle le corps, digue sans remparts qui ramène le lecteur au gîte de la déraison, il boit au goulot d’anciennes racines errantes qui pourtant n’ont pas d’attaches… Électro choc, électro quelque chose c’est la vie avec ses murmures, ses fusions, ses effusions, où l’on se perd pour se retrouver, peut-être tentative de communion avec l’Absolu, tresses du silence bruyant qui libère toute une chapelle à explorer.


Dana Shishmanian se fait relieuse, c'est si près de religieuse, sa fourrure d'hermine se lustre au poil fin de ses mots en nervures, elle pose les épingles de ses bâtis, découd l'ourlet d'un nuage pour offrir trois notes de la musique des sphères issues d'un tabernacle de silence et d'encens à chacun de savoir l’ouvrir.


Elle va s’en aller, à la recherche du pardon, issu des lamentations angéliques qu’un violoncelle/ sorti d’abîmes sans fond/ distille subrepticement…il anéantit et console, elle a besoin d’apaisement, de paix on appelle les larmes au secours/ ce sont les bonnes sœurs toujours prêtes à consoler.


Le sens magnétique, est un tourbillon de mots-pensées, qui s’enroulent, après le lecteur, le tord, le roule, le palpe, l’oublie, le reprend, le traîne pour en faire une toupie dans une étoile filante,.. adagio en guise d’adage/ définitif et muet.


À lire avec étonnement, vite transformé en bonheur méditatif.
                                                   

©Nicole Hardouin.          
 
 

 

 

 

Voir en fin de page d'accueil du blog, la protection des droits

Partager cet article
Repost0
22 août 2022 1 22 /08 /août /2022 06:48


 

 


Fibres clandestines effleurées, fleurs d’eau
prêtes à éclore, fruits à mordre en lents creusements.

    Calligraphie de la tentation.

    Les fortifications se lézardent. Je vous observe,
vous butine. Ma chair cueille vos étamines. Mes lèvres
s’égarent à l’équinoxe de vos nacres.

    Fournaise.

©Nicole Hardouin.
In Fontaines Carnivores, éditions L.G.R, Paris
 
 
 
 
 

 

 

 

Voir en fin de page d'accueil du blog, la protection des droits

Partager cet article
Repost0
28 juin 2022 2 28 /06 /juin /2022 06:56
www.artistespourlapaix.org. Le poème sans fin rêve de paix

                                           
 


Poète tu as soif, soif de souffle, soif de transcendance, tu hésites dans les éboulements de tes délires, de tes émotions.
Tu es aux aguets dans les échos de la glaise primitive, tu écris sur le sable mouvant de ta vie pour escorter un phare lointain qui t’écorche  t’éblouit, te fascine.
Fou génial, insatisfait permanent car aussi loin que la science recule ses frontières, on entendra courir la meute chasseresse du poète.
À la fois marbre et sculpteur, vin et eau, obscure ivresse, passons ronces et épines pour trouver la trouée lumière noire, brasier de la  source.
Nous sommes adossés à l’arbre de la Connaissance, secret lumineux.
Poète à la meute hurlante, l’hallali n’est peut-être que l’explosion réussie de la mise à mort de l’énigme créatrice.
Grand veneur lâche tes chiens donc tes mots, éclatent les émois.
Féconde tes pulpes, transmue tes sucs, fais germer tes élans, fruits que je croque pleines dents.
Entends-tu le bruit sec de la morsure lorsque j’y plante mon désir ?

 

©Nicole Hardouin        
 
 
 

 

 

 

 

Voir en fin de page d'accueil du blog, la protection des droits

Partager cet article
Repost0
4 mars 2022 5 04 /03 /mars /2022 06:17

 

Histoires Courtes

 

Préface de JEAN-PAUL GAVARD PERRET

 

 

Éditions

 

 

À mon amie Béatrice Rolando

 


L’escalier qui mène vers le haut
de la tour ne se trouve pas forcément dans la tour elle-même
Jean Markale

 

 

 

PRÉFACE

 

 

 

Traversée des temps, armoiries de l’amour

 

 

Nicole Hardouin invente une suite de « terres » à la fois sentinelle et hors limite. La langue classique et impeccable relève la tête tout en osant la guillotine. L’auteure, pirate autant que châtelaine, sous prétexte de contes qui appellent une langue roide, la tord comme elle travestit le genre mais sans la moindre ostentation. L’humour est là, l’érotisme ne manque pas (euphémisme). Mais tout en retenu - du moins tant que faire se peut. Dans sa folie douce chaque fiction sort d’un lit de sagesse. Les syllabes sont en émoi et si elles ne ramèneront pas dans cette couche elles créent un vrai plaisir pour les sybarites. Ils ne peuvent que se laisser troubler par Nicole Hardouin, ses dialogues ironiques, ses histoires troubles, ses temps disparates et de mystérieux paysages. Le bleu de leur horizon ne s’éloigne pas lorsqu’on le touche. Il demeure même lorsque fond la lumière du soir. La poétesse la retient jusque dans l’échancrure de la nuit. Elle devient un oiseau parmi les ombres appesanties et les personnages. Certains y traquent l’espoir en papillons du soir tandis que l’acier électrique des libellules-femmes troublent des amants de passage.

 

La subtilité est omniprésente : des mots sont en avance et d’autres en retard : bizarrement ils sont toujours à l’heure. Mais jamais la même heure. Les contes multiplient des racines pas forcément carrées mais pour des extases imprévues dans le plaisir de la lecture. Nul ne sait si par son délice chaque texte finit par arranger le monde mais les choses y font leurs affaires entre gourmandise et lumière.

 

Il y a rien de comparable dans la littérature du temps. Entre humour et détachement, gravité et allégresse particulier les « éclopés du rêve » sont des êtres debout. Qu’importe les rendez-vous ratés et les fuites. Nicole Hardouin secoue l’indifférence. Qu’importe si pour ses personnages le futur sera toujours provisoire. Entre émergence et effacement, entre cheminement linéaire et torsions temporelles l’auteure feint de réintégrer un ordre dans le désordre. Par sa drôlerie tendre, elle isole encore plus l’isolé et nourrit l’air qu’il respire de ses illusions.

 

Raison et folie font la jonction entre ce qui est et ce qui n’est pas, le réel et l’allégorique. La créatrice reste la sourcière armée de la seule arme essentielle, travaillée et retravaillée : son langage. De la boue des temps il extrait des parcelles d’or et, des arpents du ciel, le bleu cyan. Selon une dynamique onirique et littérale chaque fable donne du monde son jour imprévisible.

 

Jean-Paul GAVARD PERRET

Extraits de LES ÉCLOPÉS DU RÊVE – Nicole Hardouin

 

LIMINAIRE

 

 

Contes que les djinns se chuchotent dans nuits froides du désert lorsque s’endorment les gerboises et s’éveillent les serpents ceux qui vont debout comme à l’origine.

 

Histoires comme s’en racontent les fous qui n’en sont pas, les diables, les gitanes et les poètes, les soirs de pleine lune en croquant les interdits sur les bords des débords.

 

Éclats de vie qui paraissent sans liens ni raison, dans des tremblements de temps. Ils ont pourtant tous la même semence : l’espoir. Mais, éparpillées par le vent, les choses ont leur propre destin.

 

Elles germent en tous lieux sous diverses formes. Elles s’égarent, s’ensouchent selon leur fantaisie, s’incrustent, boursouflent terre, caillasse, désirs, corps pour éclater de façon éruptive jamais comme on le pense et là où on le croit.

 

Mais elles ont un point commun ces histoires qui n’en sont pas, elles sont toutes cernées par les cicatrices du rêve dont la fumée revint souvent comme un songe de vent.

 

Ne sommes-nous pas tous des éclopés du rêve ?

 

Partager cet article
Repost0
25 janvier 2022 2 25 /01 /janvier /2022 07:24
oeuvre de Max Ernst


 

Mots fractals, mots puissants, braises et cendre, tension dans la pâte du quotidien.   
 
Ecrire c’est accepter de retourner le sablier et conserver les grains de sable sous la peau, fugitives morsures des songes.

 Ecrire c’est aussi accepter la signature de la chair et du sang. Celle qui donne à l’autre un abri pour les nuits d’averse, une carapace pour traverser les ronces du soir.

C’est dessiner avec l’extrême mouvance du mot immobile, le reflet d’une île à travers l’ombre de la vie.

Sur la mosaïque de la mémoire brûlent des scories aux remous plus ou moins perceptibles.

Dans cette intime mythologie s’originent oasis et déserts, monastères et sultanats, mais tout se perd dans la profondeur des estuaires nocturnes, tout disparaît dans des océans sans horizons.

Et pourtant dansent sous mes paupières un phare lointain et lumineux : vos mots.

 Je vogue sur leur reflet à marée haute, à marée basse, nous labourons l’océan.

 Secret de nos feux.


 
©Nicole Hardouin        
 

 

 

 


Voir en fin de page d'accueil du blog, la protection des droits

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2021 7 19 /12 /décembre /2021 07:53


 


Oui, le poète a soif, soif de souffle, soif de transcendance.
 Il hésite dans les éboulements de ses délires, de ses émotions.
Aux aguets dans les échos de sa glaise primitive, il écrit sur le sable mouvant de sa vie avec pour escorte un phare lointain qui l’écorche, le vivifie, le fascine.
Le poète est fou génial.
Grand veneur, lâchez vos chiens.  
La meute hurlante sonne l’hallali, ce n’est, peut- être, que l’explosion réussie d’une mise à mort de l’énigme créatrice.
Grand veneur, lâchez vos chiens. Je vous attends.
Passez ronces et épines, trouvez la trouée, nous possédons la foudre et les éclairs, filets à la reliure des cicatrices
Nous sommes à la fois marbre et sculpteur, vin et eau, éclairs au bleu des veines.
Obscure ivresse.


©Nicole Hardouin
 
 
 
 

 

 

Voir en fin de page d'accueil du blog, la protection des droits

Partager cet article
Repost0
11 novembre 2021 4 11 /11 /novembre /2021 07:29
« Lilith », par John Collier (1892)


 

 


    Désirée, désirante, inconnue, reconnue,
femme-salamandre qui attise, défie, obsède
émerveille.

 

    Imaginée, respirée, envisagée, dévisagée,
déesse-mère, première femme, n’étant pas née
d’une côte, comme celle qui m’a succédée.

 

    Je ne dois rien à Adam.


©Nicole Hardouin

Extrait du recueil « Lilith, l’amour d’une maudite » aux éditions L.G.R Paris

 

 

 

 


Voir en fin de page d'accueil du blog, la protection des droits

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Couleurs Poésies 2
  • : Ce blog est dédié à la poésie actuelle, aux poètes connus ou inconnus et vivants.
  • Contact

  • jdor
  • Amoureux de l'écriture, poésie, romans, théâtre, articles politiques et de réflexions... Amoureux encore de la beauté de tant de femmes, malgré l'âge qui avance, la santé qui décline, leurs sourires ensoleillent mes jours...
  • Amoureux de l'écriture, poésie, romans, théâtre, articles politiques et de réflexions... Amoureux encore de la beauté de tant de femmes, malgré l'âge qui avance, la santé qui décline, leurs sourires ensoleillent mes jours...

Recherche