Ma première rencontre avec des lectrices et lecteurs qui le souhaiteraient se déroulera dans 11 jours, le 14 septembre, dans les locaux de la Société des Poètes Français, 16 rue Monsieur Le Prince, 75006 Paris.
Ci-dessous l’affichette consacrée à cette séance de signature.
J’espère rencontrer celles et ceux qui le pourront, ce jour-là.
J’ai le plaisir de vous annoncer ma première rencontre avec des lecteurs grâce à l’honneur que m’offre la Société des Poètes Français dans ses locaux, le 14 septembre, rue Monsieur le Prince à Paris.
Ci-dessous l’affichette consacrée à cette séance de signature.
J’espère rencontrer celles et ceux qui le pourront, ce jour-là.
Mon cœur reste en deuil Son absence est trop lourde Mon âme pleure Dans le secret de mes jours… Ne me laissant nul répits Son image s’impose jusque dans mes rêves
On ne choisit pas son frère Ni ses parents, que je sache Mais la vie m’a offert Cette famille et ce frère Copain, ami, confident… Où es-tu à présent ?
Quelque part dans le grand vide Celui que l’on nomme néant ? Ou comme d’aucuns le croient En pleine lumière Avec ton Sauveur Partout et nulle part à la fois ?
Rien que pour te retrouver Je voudrais croire que Dieu N’est pas qu’une invention Faite pour accepter le sort Si cruel de notre mort ! Las, comment y croire encore ?
Certes, comme on le dit La vie est belle… Souvent… Mais on le dit moins Comme pour le cacher Que cette si belle vie Est très cruelle aussi…
Ne doit-on pas tuer pour vivre Massacrer les animaux d’abattoir Ou même arracher les herbes et salades Comme les légumes et les fruits ? Qui me dit que ce monde Ne souffre pas lui aussi ?
Quelle curieuse morale Que de devoir être barbare Juste pour survivre ! Et au final, une seule interrogation : TOUT ÇA POUR ÇA ? Juste pour terminer dans un trou de terre…
Nul n’est obligé de me suivre Mes pensées sont couleur néant Mon espérance fait partie du passé La joie m’a pour longtemps quitté ! Ne reste que le souffle de l’Amour Si toutefois lui aussi n’est pas qu’une illusion…
En raison du décès de mon frère dans la nuit du 16 au 17 juin, il m’est impossible de publier la lettre d’informations de cette semaine comme il ne me sera pas possible, durant toute la semaine et un peu au-delà sans doute, de publier quotidiennement des poèmes.
Amoureux de l'écriture, poésie, romans, théâtre, articles politiques et de réflexions... Amoureux encore de la beauté de tant de femmes, malgré l'âge qui avance, la santé qui décline, leurs sourires ensoleillent mes jours...