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10 mars 2019 7 10 /03 /mars /2019 06:57
Hamlet – Royal Mail Stamps

 

 

 

 

Faut-il flirter

Avec Dame folie

Pour approcher enfin

De l’ultime vérité

Celle dont on ne sait rien ?

Et cette fois connaître

Le fin mot de l’Histoire

Avec ce vide

Ou ce trop plein d’un dieu

Qui toujours s’est amusé

À se cacher

Pour que rien ne soit facile

Que rien ne soit évident

Aux yeux de la prétentieuse

Créature, l’humain

Qui ne mérite rien

Sinon la mort

Et la dilution

Dans le grand ventre

D’un univers éthéré

Que rien jamais

Ne saura remplir :

Ni ombre

Ni lumière

Juste rien

Pour que jamais

Notre ignorance

Comme notre insolence

Ne trouvent

Une source de paix

Ici et maintenant

Là-bas et à jamais !

 

Au creux de mon âme

Résonne l’orage

Des vies maltraitées

Des âmes sacrifiées

À l’orgueil

De misérables poignées

De dictateurs

Athées par orgueil

Voulant se croire importants !

Oui, l’orage gronde en moi

Comme au-dehors !

 

Les sang des innocents

Réclame vengeance

Il réclame le prix

De la vie sacrifiée

Inutilement

Par pure folie

Au nom des imbécilités

De toujours 

Celles de l’orgueil !

Celles de l’argent !

Celles des pouvoirs

À ne jamais partager

Quitte à éradiquer

La vie sur cette planète !

 

Tremble mon âme

De n’avoir pas assez

Lutté contre ces fous

De n’avoir pas assez crié

Contre toutes leurs

Croix gammées

Tous leurs drapeaux

Et oriflammes

Contre toutes leurs armes

Contre tous leurs plaisirs de tuer

Contre leurs abjectes racismes !

Il eut fallu que je me lève

Contre ces criminels de toujours

Qui ont la haine de la vie

Pour garder l’amour du mal

Ce mal qui respire en eux !

 

Hurle mon âme

Plus fort qu’un ouragan

Parce que je n’ai pas

Sauvé la femme et l’enfant

Qui ne demandaient

Que l’amour, que la paix… !

Pleurez mes mots

Vous ne pouvez

Changer ce monde

Alors qu’il le faut

Car il se meurt…
 

©Jean Dornac

Lyon, le 8 mars 2019

 
 
 
 
 

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18 février 2019 1 18 /02 /février /2019 07:40

 

 

Un poète aimant la beauté
Ne peut pas aduler la guerre
Et toutes ces vies massacrées
Il ne peut pas supporter les larmes
Des innocents sacrifiés
Et la sauvagerie des guerriers !

 

 

Jusqu’au bout,
Je me demanderai
Pourquoi la vie ?
Pourquoi la violence ?
Où donc se trouve le sens
De nos existences
Si c’est pour nous entretuer
Sans âme ni réflexions ?

 

Et dire que certains
Sont fiers
De commettre leurs crimes
Parfois au nom de la raison
Parfois au nom des croyances
Souvent par avidité
Ou stupide jalousie
Voire juste pour des principes

 

Ah les principes
Et les religions !
Que de crimes
Commis en leur nom
Alors que cela
N’est jamais
Que convictions
Personnelles !

 

Tuer des innocents
Avec pour prétexte
La supériorité d’une pensée
N’est que la preuve
D’une tragique stupidité !
Certes, l’argent et le sexe
Mènent le monde
Mais on oublie la stupidité !

 

On oublie que tous les tyrans
Se rangent dans cette catégorie
De la bassesse et de l’idiotie humaine
Celle de gens qui n’ont jamais compris
La valeur unique de chaque vie
Ils préfèrent tuer
Ceux qui ont raison
Et qui prétendent leur ouvrir les yeux !

 

Crions et agissons
Contre l’abjecte violence faite aux femmes !
Crions contre l’abominable et toujours criminel
Racisme, contre tous les racismes sans exceptions !
Crions contre les violences imposées aux enfants
Innocents depuis toujours et à jamais !
Crions contre la joie de tuer
Vécue et voulue pat trop de chasseurs !

 


Poètes mes frères
Poètes mes sœurs
Crions ensemble
Qu’il en est assez
De se conduire
En idiots criminels
Au nom de l’argent et du pouvoir
Au nom de simples convictions !…  
 

©Jean Dornac
Lyon, le 17 février 2019  
 
 
 
 

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31 janvier 2019 4 31 /01 /janvier /2019 07:27
IL PARAÎT QUE LA STATUE DE LA LIBERTÉ PLIE BAGAGE À LA RECHERCHE D’UN AUTRE PAYS OÙ S’INSTALLER…

 

 

 

Il en est qui rêvent de bâtir des murs

Alors que j’aimerais qu’on abatte

Définitivement et pour sûr

Ces horreurs qui ne flattent

Que les dirigeants indignes

Qui les ont tracés comme ligne

Sur une carte de papier

En abusant de contrevérités !

 

N’est-il pas amusant et tragique

De vivre ce retournement historique

Qui montre qu’un président, stupide capitaliste

Imite, après les avoir vilipendés, les tsars communistes ?

Souvenez-vous combien, à juste titre

Les dirigeants américains avant ce pitre

Huaient le mur de la honte de Berlin

Avec l’envie d’y envoyer leurs fantassins…

 

Ces barrières, tragiques obsessions

Sont différentes des murs de nos maisons

C’est la guerre des possédants

Contre les masses déshéritées

Qui aux yeux des puissants

Sont juste tous bons à crever

Ils ont la peur au ventre, ces trop riches

Sachant que leur fortune est le fruit de triches !

 

On ne devient des nantis boursoufflés

Qu’au moyen du pillage des populations

Ces humains toujours exploités

Sous prétexte de plus vastes productions

Depuis toujours les pauvres du monde

Sont les garants de l’éclat des riches immondes !

Le cancer des égoïstes et profiteurs

Fait le lit des guerres et des malheurs

 

Enfermez donc vos populations

Dirigeants ignominieux

Beaucoup désirent cette affliction

Ne comprenant pas, ô pauvres hargneux

Que ces murs seront leurs prisons

Où leur bonheur et leur liberté périront

Par peur et souvent par égoïsme

Et parfois hélas, par pur racisme…

 

Bientôt, à forces de stupides murs

Les populations qui se croient protégées

Seront les bêtes des zoos futurs

Qu’on ira nourrir et photographier

Du haut de nos miradors

Et nous serons biens, nous, dehors !

Rien n’est plus précieux que la liberté !

La vie est diversité, il ne faut pas l’oublier !  

 

©Jean Dornac

Lyon, le 30 janvier 2019

 

 

 

 

 

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14 janvier 2019 1 14 /01 /janvier /2019 07:34
« Le pont d’Héraclite », René Magritte

 

 

 

J’ai traversé le pont des différences

Pour toucher du cœur

La beauté de l’amour

Que toi, ô femme

Si bien tu incarnes !

 

J’ai franchi le pont des indifférences

Celui des cruautés ordinaires

Que l’on ne voit même plus

Ces violences de tout instant

Qui disent l’absence de l’amour

 

J’ai vu, au loin, le pont des suffisances

Celui qui sert l’arrogance des puissants

Qui suscite à force d’injustices et de souffrances

La haine des plus fragiles toujours méprisés

Et qu’on ne fait que semblant d’écouter

 

J’ai vu, sous ces ponts

Couler l’eau des crimes

Ces poignards dans le cœur des vies

Commis par tous les pouvoirs

Et parfois par les peuples

 

J’ai vu le pont des médisances

Qui détruit peu à peu le cœur de l’âme

À force de se faire répéter des contrevérités

On ne sait plus ce qui est vrai

Ce qui est faux ni où est le mensonge

 

J’ai vu les ponts de haines

Entre individus

Entre peuples

Entre religions

Entre classes humaines

 

J’ai vu le pont du racisme

Ce lieu étrange

Où ne se fait plus aucun échange

Entre les deux rives d’une même humanité

Se méprisant sans raison ni pitié

 

J’ai vu le pont d’or

Du monde des trop riches

Qui ne veut rien connaître

De la rive où s’amoncèlent

Les cadavres de pauvres

 

 

Ô tristesse ! Que de chances gaspillées !

Un pont doit servir à nous relier

Jamais à nous diviser !

A présent, on oublie que les deux rives

Forment un unique pays !  

 

©Jean Dornac

Lyon, le 12 janvier 2019 

 

 

 

 

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28 décembre 2018 5 28 /12 /décembre /2018 07:39

 

 

 

Croire au retour de l’amour

Par ses paroles et son sourire

Croire au retour de l’amour

Et oublier de mourir !

 

Elle attendra bien

La cruelle faucheuse

Que leurs amours joyeuses

Ne soient pas un tout petit rien !

 

Mais croire encore à l’amour

Tête couverte de cheveux gris

Imaginer qu’il revient toujours

Et que son cœur peut encore être pris !

 

Se dire qu’il ne s’agit nullement d’une folie

Mais bien d’une inaccessible étoile

Qui par sa lumière intense changera sa vie

Comme une tempête qui souffle dans les voiles…

 

Mais croire encore en l’amour

N’est-ce pas justement la folie ?

Son âme en rêve encore et toujours

Et même son corps lui crie « vas-y » !

 

Il aura suffi que passe une brise

Quelque chose de frais et d’inattendu

Pour que son cœur s’irise

Et tende enfin vers l’absolu…

 

Pourvu que Dieu leur prête vie

Qu’éclose la rose d’aimer

Entre elle et lui

Pour un temps ou pour l’éternité…

 

©Jean Dornac

Lyon, le 24 décembre 2018  

 

 

 

 

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14 décembre 2018 5 14 /12 /décembre /2018 07:39
L’autodafé des savoirs à imposer aux peuples est le combat des puissants comme des fanatiques

 

 

 

Je dédie ce poème aux « gilets jaunes », ceux qui n’ont participé à aucune violence et aux innocentes victimes de Strasbourg assassinés au nom du vide de l’âme et de l'esprit… Jean Dornac

 

 

 

 

 

L’obscurantisme des puissants

Rend leurs actes saignants

Ne leur demandez pas de compatir

Ils vous répondraient par un éclat de rire !

 

Ils vous exploitent jusqu’à la misère

Mais que leur importe !

Vous n’êtes pas de leur terre

Toujours ils claqueront leurs portes !

 

Les uns après les autres

En dépit de quelques têtes coupées

Se jettent sur nos rares biens et s’y vautrent

Parfois jusqu’à la nausée…

 

Nous, gens de peu et sans puissance

Nous souffrons également de l’arrogance

De soi-disant religieux

Tueurs sans pitié jamais courageux

 

Ils tuent de préférence les femmes

Les vieux, les gens sans défense

Au nom de leur dieu infâme

Dans une sinistre danse

 

Horribles sont ces pitres

Affirmant détenir la vérité

Entendue au pied des pupitres

D’enseignants cruels à jamais égarés !

 

Qu’il s’agisse des puissants

Ou des fanatiques d’un autre temps

Ils sont champions pour détruire la vie

Car par nature, leur esprit est maudit…

 

La pourriture est gangrène

Écartons-nous de ces fous furieux

Que ce soit les voraces d’argent miteux

Ou les esprits dérangés débordants de haine…

 

©Jean Dornac

Lyon, le 13 décembre 2018

 

 

 

 

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26 novembre 2018 1 26 /11 /novembre /2018 07:36

 

 

 

 

Un soir ou était-ce un jour

Tu es partie mon ancien amour

Sans un mot, sans un sourire

Sans un baiser… rien qu’un petit rire…

 

Est-ce donc ainsi que meurent les amours

En oubliant les « je t’aime pour toujours » ?

A quoi bon vouloir te retenir

Tu as cherché un autre pour te ravir…

 

Peut-être espères-tu ma mort

Afin de t’éviter tout remord !

Ne compte pas sur cette faiblesse

Tu ne mérites aucune messe !

 

J’attends désormais

De l’aube au crépuscule

De juin au mois de mai

Un amour nouveau et ses canicules !

 

Je l’espère infiniment belle

Femme accomplie, un peu rebelle

Brûlante et dévorée de désirs

Avide de folie et de plaisir !

 

Puisse-t-elle rester fidèle

Mieux que tu ne le fus

Pour l’aimer, je ferai du zèle

Elle qui me dira « tu »…

 

Elle plongera ses grands yeux

Pour se baigner nue dans les miens

Couleur séduisante de mer bleue

Et nous serons si biens…

 

Je la rêve assise au bord de ma vie

M’offrant l’histoire de ses jours

Bien la connaître sera mon envie

Pour que vive l’amour…  

 

Je lui offrirai la rose de mes promesses

Elle m’offrira le diamant de sa fidélité

Nous vivrons ensemble l’allégresse

Des amoureux en éternité…

 

©Jean Dornac

Lyon, le 25 novembre 2018  

 

 

 

 

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17 novembre 2018 6 17 /11 /novembre /2018 04:55
Il reste une quinzaine d'exemplaire de mon premier recueil de poésie intitulé « Grains de vie » à vendre. Il a été publié aux éditions « Les Poètes Français » (Société des Poètes Français) à Paris. Les illustrations sont de mon amie Ode !
 
La maison d’édition ne s’occupant pas de l’envoi des recueils, tout passe par les auteurs. Par conséquent, vous pouvez vous procurer mon recueil en m’écrivant à cette adresse mail : jdornac@gmail.com
Ou en m’écrivant, (pour mes abonnés), en courrier privé sur twitter
Ou encore en message privé sur ma page Facebook
 
Je vous expliquerai la marche à suivre dans ces échanges privés.
 
 
 
Photo du recueil :
Couverture du recueil

 

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12 novembre 2018 1 12 /11 /novembre /2018 07:40
Carré musulman du cimetière de Douaumont

 

                                     

Ô jeunesse si utile aux puissants

Tu es l’idéale chair à canon !

 

 

Il y a cent ans…

 

 

Alors que sur les champs de batailles

Le silence avait enfin remplacé la mitraille

Seule l’odeur des jeunes morts

Entre les trous d’obus, régnait encore…

 

Silence sur les champs d’horreur

Pénible bruit de trop d’honneurs

Offerts aux politiciens et chefs militaires

Drapeaux en tête, costumes sortis des vestiaires !

 

Ceux-là n’avaient pas combattu dans les tranchées

Mais ils savaient si bien se vêtir des fausses vertus

D’un nationalisme vite criminel au fil des années

En revêtant le drapeau, toute honte bue…

 

A pieds ou sur leurs chevaux

Ils paradaient devant la foule

Qui agitait ses drapeaux

Figurant une grande houle

 

Tous oubliaient le sinistre cortège

Des millions de morts

Abandonnés à leur horrible sort !

Comment ne pas ressentir le sacrilège ?

 

Il ne manquait à l’absurdité

Que les profiteurs de guerre

Fabricants d’armes et banquiers

Ces pourvoyeurs des cimetières

 

Ces marchands et idéologues de toutes nations,

Tous ces fanatiques du pouvoir et du fric maudit

Ne voyaient en la jeunesse que le parfait profile

D’inutiles vies au service des sacrifices imbéciles !

 

Qu’il est tragique et honteux

De faire croire qu’il y a un honneur

A mourir sur un terrain boueux

Tué par un jeune venu d’ailleurs…

 

C’est en vérité, un frère humain

A qui l’on n’a rien à reprocher

Sinon d’avoir dans ses mains

L’arme qui doit vous tuer…

 

Le véritable et seul barbare

C’est l’orgueil allié à la soif d’argent

Des exploiteurs de guerre, pas rares

Véritables cancrelats en cols blancs !

 

L’honneur revient aux seuls soldats

Ces jeunes à qui l’on a volé la vie

Leur faisant croire qu’ils servaient la patrie

Au début, beaucoup croyaient en cela…

 

 

N’oublions jamais, qu’il n’y a pas d’honneur

Dans la guerre, seulement de l’horreur !

Il n’y a pas de vainqueurs

Il n’y a que la terreur

Il n’y a pas de gloire

Rien que des mots illusoires…

 

Et, toujours, des océans de souffrance…

 

©Jean Dornac

Lyon, le 11 novembre 2018  

 

 

 

 

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29 octobre 2018 1 29 /10 /octobre /2018 07:32

 

 

 

 

 

 

Les chemins de la beauté

Echappent à certains esprits

Surtout aux âmes dominatrices

Qui n’écoutent plus rien ni personne…

Les assoiffés du pouvoir

Ne peuvent connaître ces chemins

Perdus qu’ils sont dans les ronces

De la jalousie, de l’envie et de l’avarice !

 

Les chemins de la beauté

Sont les frères des sentiers de la Liberté

Les uns ne vont pas sans les autres

Il suffit de voir la laideur de l’art chez les dictateurs !

 

Mais l’amour est le sommet de la beauté

Rien n’est beau sans la lumière de l’aimer

La vie n’est rien qu’horreur sans l’amour

Sans lui, elle n’est plus que le chemin de la mort !

Heureux l’humain qui a su voir la beauté

Qui a su sacrifier les honneurs pour plus d’amour !

Heureux les cœurs simples

Emus par le charme des fleurs !

 

Les orgueilleux rient de l’innocence

Des ceux qui préfèrent les fleurs au fusils

Les brutes voudraient condamner

Tous ces amoureux de la paix !

 

Et combien sont malheureux

Parfois sans le savoir et comprendre

Ces soldats et leurs chefs tueurs

Tout comme les chasseurs devant leurs victimes !

Ô pauvreté de l’âme humaine

Qui s’esbaudit face au nombre de cadavres

Sur les maudits champs d’horreur

Et la puissance de mort des armes !

 

Si tu aimes la beauté et l’amour

C’est aussi la vie que tu aimes

C’est encore la liberté que tu chéris

C’est aussi que tu te moques de l’orgueil des nations…

 

Tu ne peux que haïr la violence

Des lâches guerres menées

Par les fous des pouvoirs

Ces serviteurs de la mort

Ces pourvoyeurs indignes

Des fleuves de sang

Et des océans de larmes

Des femmes et des enfants !

 

Alors, que tu sois jeune ou vieux

Aime la beauté

Aime la Liberté

Aime l’Amour !

 

©Jean Dornac

Lyon, le 28 octobre 2018  

 

 

 

 

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