Diapositive prise en 1970. Elle a beaucoup souffert de mes divers déménagements et elle a tout de même 50 ans !!!
Il y a celui qui aime la Lumière
Et celui qui aime les ténèbres...
Le premier aime la vie
L’autre adore la mort !
Le premier respecte
Les choix de chacun
Même s’ils sont différents
De ceux qui lui tiennent à cœur
L’autre maudit
Tous ceux qui ne s’alignent pas
Sur sa foi, ses croyances et ses errements
Il vit d’obsession et de meurtres !
Celui qui aime
Est un être discret
Celui qui hait
Ne sait que hurler !
Celui qui aime
Sert Dieu
Même si très souvent
Il n’est pas croyant…
Celui qui hait
Sert les légions de l’enfer
Et lui, il sait au service de quoi il est !
Même s’il prétend servir Dieu
Comment peut-on
Tuer au nom de Dieu ?
Comment peut-on prétendre le servir
En détruisant des vies, ces œuvres de Dieu ?
J’ai connu des musulmans
Dans la ville martyr de Mossoul
C’étaient de vrais croyants
Respectueux et sachant aimer !
Des exemples vivants !
Ils étaient tout le contraire
Des monstres qui, ici, tuent !
Ceux de Mossoul m’ont inspiré
Le respect de leur foi !
Alors que les hordes fanatiques
Sorties tout droit
Des flammes de l’Enfer
Ne m’inspirent que dégoût !
Ils montrent par leurs crimes
Que leur foi est pitoyable
Fausse et mensongère !
Que leurs noms soient effacés !
Ils ne sont que les enfants du Mal !
Note explicative :
Je dois dire, à propos de ce poème, ma tristesse de voir combien des âmes peuvent s’égarer. J’ai vécu, alors que je n’avais que 19 ans, durant 9 mois à Mossoul, ville martyrisée il y a peu d’années par l’état islamique. J’étais apprenti monteur pour une entreprise de Mulhouse, la SACM, et nous équipions une usine textile dans la banlieue de la grande ville irakienne.
Les ouvriers irakiens avec qui je travaillais m’ont permis de voir la beauté de leur foi, leur générosité, leur ouverture d’esprit et leur qualité d’accueil. Je n’ai jamais oublié et je n’oublierai jamais ! Ceux-là étaient des serviteurs de leur Dieu alors que les membres de l’état islamique sont les « adorateurs de la mort » car c’est elle qu’ils aiment et non pas la vie ! Comme l’a dit un évêque après le troisième attentat de Nice : « En tuant au nom de Dieu, ils commettent le véritable blasphème ! » et ça, c’est bien la signature de leur folie.
J’ai la conviction que les musulmans vivant en France, la plus grande partie d’entre eux, sont des gens parfaitement civilisés et fiers d’appartenir à la Nation ! Mon poème, bien entendu, ne les vise en aucun cas, il ne vise que les fourbes qui, sous prétextes religieux, s’adonnent à leur vice favori, l’assassinat des innocents, l’assassinat de toutes celles et ceux qui n’ont aucun moyen de se défendre, ce qui est la marque de la lâcheté ! Leur bannière, c’est la mort, jamais la vie !…
©Jean Dornac
Le 1 novembre 2020
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