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11 janvier 2016 1 11 /01 /janvier /2016 08:07
Cathédrales - Jean Dornac
Cathédrale Notre-Dame de Strasbourg  - Photo J.Dornac©
 
 
 
Je l’ai vue, fièrement dressée vers le ciel
Comme une nouvelle tour de Babel
Défiant les hommes et les faux dieux
Visant leur cœur comme on ferait avec un pieux !
 
Et mon âme s’étiolait en d’étranges rêves
Elle volait vers les géniaux bâtisseurs
Qui avaient offert leur vie et leur labeur sans trêve
Pour nous laisser l’image d’un monde meilleur…
 
Et mon esprit me montrait leurs fronts en sueur
Les mains sanglantes et douloureuses des sculpteurs
L’adresse et la maîtrise des tailleurs de pierres
Pour aider cette merveille à naître sur notre terre…
 
N’étaient-ils pas comme des marins en cale sèche
Bâtissant de puissantes nefs contre vents et marées 
Se donnant cœur et âme pour édifier d’étonnantes flèches
Pour mieux conduire les croyants vers un songe d’éternité ?
 
Il fallait écarter de la bâtisse toutes les sortes de démons
Comme on éloignait l’eau de pluie par la bouche des gargouilles
Qu’ils soient ricaneurs ou monstrueux, venant des abîmes ou des monts
Ils devaient échouer à récolter les âmes et rentrer bredouilles…
 
Rien de tel pour édifier des âmes fortes chez les croyants
Que des chœurs majestueux en formes et en couleurs
Ces navires de pierre, à jamais imposants
Avaient pour mission de récolter l’ensemble des cœurs…
 
Ce n’était point le fruit du hasard si de nombreuses cathédrales
Portaient le doux nom d’une innocente et glorieuse Vierge
Quel plus beau drapeau pour écarter la nef du piège des dédales
Au fil des temps, sous sa protection en compagnies des cierges…
 
Ainsi, durant les siècles, les bâtisseurs et leurs compagnons
Ont semé des graines de foi avec leurs sublimes cathédrales
L’Europe en est parsemée, elles sont nos superbes lumignons
D’où sortent des chants d’amour en forme d’unique chorale…
 
©Jean Dornac
Lyon, le 10 janvier 2016
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7 décembre 2015 1 07 /12 /décembre /2015 07:42
Un petit tas de poussières – Jean Dornac
 
 
 
Un poète voulait passer, chez lui
L’aspirateur à poussières
Tout sage qu’il fut, de jour ou de nuit
Voilà une besogne qui ne lui plaisait guère !
 
Mais voyez-vous, cœur largement ouvert
Bien qu’il fut à trois-quarts sourd
Il entendit soudain, crié en vers
Comme un appel au secours…
 
Vite, il chaussa ses lunettes de grand-père
Qui le faisaient tant ressembler au Père Noël
Que vit-il, alors qu’il n’avait point bu de bière ?
Un petit tas de poussières très exceptionnel…
 
Chose qu’il prit dans un premier élan
Pour simple détritus mal nettoyé
La dernière fois qu’il fit le ménage sous le divan !
Mais c’était quand ?... Souvenir déjà effacé…
 
Regardant de plus près avec sa loupe
Et ses appareils auditifs
Il remarqua, comme un petit groupe
Pour le moins démonstratif !
 
Il distingua une bouche bien dessinée
Et des yeux au regard très malin
Qui ne cessaient de l’implorer
Comme le feraient de tristes orphelins…
 
C’est que la chose voyait s’approcher
La gueule monstrueuse et menaçante
D’un horrible tuyau noir et biseauté
Qui avait une allure tellement arrogante !
 
Le petit tas tentait bien de résister au souffle
Ou plus exactement à cette aspiration mortelle
Il aurait voulu se cacher dans une pantoufle
Pour ne pas être aspiré par le tuyau cruel…
 
Le vieux poète approcha du mieux qu’il put
Ses vieilles oreilles terriblement ridées
Du petit tas de grains qui n’en pouvait plus
Et il écouta mieux, cette fois, par le cœur guidé…
 
Son âme de poète entendit la complainte
D’un petit tas de poussières qui ne voulait pas mourir
Les grains formaient entre eux une famille sainte
Aucun ne voulait être séparé des autres même pour rire…
 
Par tendre compassion, notre vieux poète à la barbe blanche
Renonça au ménage, mais il pris le tas avec moult précautions
Le posa dans sa main tremblante, l’autre posée sur sa hanche
Puis l’installa dans une vieille crèche pour une bonne intégration…
 
Prenant son chapeau rouge et ses grosses lunettes
Son pourpre pantalon, ses bottes noires et son bel anorak
Il partit pour une longue tournée, son char rempli d’amusettes
Pour les enfants, Noirs, Rouges, Blancs, bref, de toutes couleurs en vrac…
 
Survolant toits et cheminées, il songea à l’étrange famille dans la crèche
Composée au fil du temps par des rencontres mouvementées
Faites de poussières diverses, poils de chat, pollens, venus par mille brèches
Qui, depuis, vivaient d’amour et d’harmonie serrés les uns contre les autres…
 
Ainsi est la vie qui ne supporte que les grandes diversités
Soyez différents, ne cherchez surtout pas l’uniformité !
C’est seulement dans la différence que se trouve la richesse
C’est en l’acceptant qu’on trouve Dame Sagesse…
 
©Jean Dornac
Lyon, le 6 décembre 2015

 


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23 novembre 2015 1 23 /11 /novembre /2015 07:47
Les loups sont de retour dans Paris – Jean Dornac
Place Bellecour, hommage aux victimes – Photo J.Dornac©
 
 
 
Les loups sont de retour dans Paris
Qu’ils soient vêtus en vert-de-gris
Ou maquillés en djihadistes
Ce sont toujours les innocents qu’ils pistent…
 
Sanguinaires, cruels et fous
C’est la signature de ces nouveaux loups
Ne leur parlez pas d’amour
Ils ignorent ce que c’est, ces vautours…
 
Ces lâches grouillent dans nos égouts
Pour semer la mort et satisfaire leur goût
Ces rats, autrefois, étaient des humains
Peut-être même de charmants gamins…
 
La haine implantée dans leur cœur
A fait d’eux de monstrueux tueurs
Que seule la mort des innocents
Apaise quelques courts instants
 
Ils célèbrent leurs noces avec le néant
En lui offrant le cœur de tous les innocents
Ils implorent soi-disant leur dieu
Mais c’est le diable qu’ils adorent aux cieux…
 
Où est la victoire des assassins ?
Dans le flot d’une rivière de sang ?
Dans les larmes d’un immense chagrin ?
Dans la trahison des versets du Coran ?
 
Ce ne sont qu’illusions de criminels notoires
Nous resterons debout du jour jusqu’au soir
Ils n’obtiendront jamais la mort de Notre Liberté
Ni notre ralliement à leur funeste société !
 
Nous sommes l’Eternelle et Libre France
Nous sommes, tous ensemble, le Cœur de Paris !
Nous rejetterons toujours les idéologies rances
Nous danserons à jamais sous le ciel et nos lambris…
 
©Jean Dornac
Lyon, le 22 novembre 2015  
 
 
 
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14 novembre 2015 6 14 /11 /novembre /2015 08:12
Pardon, mais après les monstruosités commises hier soir à Paris, je n’ai pas le cœur de publier de la poésie.
 
Mais c’est un appel à la résistance que je lance en dépit du fait que je n’ai nul pouvoir. La peur, face aux barbares, aux buveurs de sang, aux adorateurs de la mort, est légitime, mais notre honneur de femmes et d’hommes libres est et sera de la surmonter pour nous tenir debout face aux infâmes assassins qui utilisent leur religion comme prétexte pour tuer. C’est l’un des pires crimes de tuer des innocents au nom de l’Amour…
 
Les assassins espèrent semer la peur dans nos coeurs ; ils espèrent semer la haine contre nos frères arabes et musulmans. Soyons des femmes et des  hommes debouts, rejetons et la peur et la haine ! C'est ainsi que les monstres connaîtront leur échec en France !
 
Jean Dornac
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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 07:51
L’abandon – Jean Dornac
 
 
 
 
Dans la tristesse de mes jours
Se dilue toute mon énergie …
Je ne saurai survivre sans amour
Sans lui, point de survie…
 
Il en est qui ignorent
Ou qui, par bravade, refusent
Que seul l’amour est d’or
Que seul lui suscite les muses…
 
Mon âme tout comme mon esprit
Sans « l’aimée » s’assèchent
En m’abandonnant, elle m’a tout pris
Avec le mal, elle était de mèche…
 
Qu’importe la concernant
Elle n’appartient qu’au passé
Mais l’amour reste perdant
Il fut trop promptement assassiné…
 
Dans le vide de l’univers
Les ans se sont trop vite perdus
Mon âme s’est nourrie de misère
Et mon cœur, à jamais, s’est fendu…
 
Ici bas, nul ne devrait ignorer
La force de destruction de nos âmes
Que la solitude parvient à imposer
Lorsque le cœur est privé de sa flamme…
 
Il est effrayant, je vous l’assure
De voir pousser la rose noire
A la place de la lumière pure…
Il est effrayant d’ainsi déchoir…
 
Il est violent ce cruel destin
Des amoureux qu’on abandonne
Quel qu’en soit le dessein
C’est la mort qu’on leur donne…
 
Vous qui vous aimez
Qui allez vous jurer fidélité
N’oubliez pas la leçon
Des âmes laissées en abandon…
 
©Jean Dornac
Lyon, le 8 novembre 2015  



 
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26 octobre 2015 1 26 /10 /octobre /2015 07:53
Destinée… – Jean Dornac
Le Conseil des Dieux – Raphaël
 
 
 
 
Enfant, je n’imaginais que le plus beau
Je ne pouvais qu’envisager une vie heureuse
Cœur entouré d’affection, innocent tel un agneau…
Ma vie s’écoulait, douce comme une berceuse…
 
Au fil des jours qui s’amoncelaient,
Les couleurs de la vie se transformaient
De roses, elles viraient au gris
C’est comme si on m’avait soudain tout pris…
 
Et je me mis à maudire le ciel
Là où l’on disait qu’habitaient les dieux
Je me disais que leurs paroles n’étaient que fiel
Justes bonnes pour quelques poignées de vieux
 
Un jour, pris d’une sainte colère
Je dressais le poing contre les « invisibles »
Ceux qui vont nous réduire en poussière
Au jour de notre mort, l’instant indicible…
 
Et je leur adressai mon cruel message
Celui que pourraient proclamer tous les sages
Cette révolte qui gronde désormais dans mon cœur
Qui, à jamais, me plonge dans les ténèbres du malheur…
 
Pourquoi, au bout des ans devenons-nous
Chacun à sa façon, ce bateau ivre
Qui fait de nous des êtres tellement fous
Que plus rien ni personne ne délivre ?
 
Pourquoi ces océans de malheurs
Qui n’épargnent personne
Et ces fleuves de sang pris par les voleurs
Pour les offrir aux pouvoirs qui fanfaronnent ?
 
Ô vous, les dieux, à quoi auront servi
Nos souffrances et nos joies
Le travail de toute une vie
Nos amours, nos deuils et notre foi ?
 
A quoi bon, dites-moi ?
Juste pour votre bon plaisir ?
Et pourtant, sans aucun doute, je le crois
Le bonheur était notre idéal et vrai désir…
 
Il suffisait de peu de chose, chaque jour…
Juste que l’homme ait foi en l’amour…
 
©Jean Dornac
Lyon, le 26 octobre 2015



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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 07:04
Cancer de l’âme – Jean Dornac
©Madriana Mad-Jarova
 
 
 
Un trou noir dans mon âme
A remplacé le cœur d’une femme…
Il absorbe mes souvenirs
Et déjà, mes bonheurs à venir…
 
On voudrait que l’amour dure toujours
Mais au regard de nos vies, il ne dure que quelques jours
Que sont nos heures sans cette passion
Juste un grand vide pour mieux perdre la raison…
 
La tumeur sans cesse s’agrandit
Laissant pénétrer les ténèbres
Il paraît que le « mal a dit »
Qu’elle prépare ma proche veillée funèbre…
 
Le voile blanc de la mariée
En noir deuil s’est déjà transformé
Que feront-ils de mes cendres
Et de mon cerveau aux mille méandres ?
 
A chaque heure qui péniblement passe
Le mal progresse, me blesse, mon ronge
L’amour absent fait que ma vie me lasse
Et que je m’enfuis au loin dans mes songes
 
Un cœur trompé, peut-il survivre
Après l’abandon tragique et final ?
Peut-il encore avoir envie de vivre
Cette existence sans le moindre fanal ?
 
La femme ou l’homme qui a aimé
Et qui soudain se trouve abandonné
Sait bien que son cœur pourrit
Ouvrant ainsi la porte aux pires folies…
 
Rien n’est plus beau et doux que l’amour
Rien n’est plus cruel qu’un brutal abandon !
Ils n’existent plus, les beaux jours !
Mais il faut encore trouver la force du pardon…
 
© Jean Dornac
Lyon, le 11 octobre 2015 




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28 septembre 2015 1 28 /09 /septembre /2015 06:42
Confusion – Jean Dornac
©Maurits Cornelis Escher
 
 
 
Le bien est devenu le mal
Le crime est tout à fait normal !
C’est la dérive d’une époque
Celle des âmes en défroque…
 
Il n’est point question de juger
Mais juste de faire preuve de lucidité !
Aujourd’hui, on admire les voyous
Et les mondes « d’en dessous »…
 
Ce n’est point une question de morale
Ni des règles inspirées par les religions !
C’est la vision d’une tragique spirale
Qui existe grâce à d’ignobles ambitions !
 
On dit que le beau est laid
Et que l’affreux est adorable !
Ils disent que cet avis est parfait
Et que l’opinion contraire serait méprisable…
 
Accueillir ces nombreux étrangers
Qui, victimes d’une guerre
Sont devenus d’errants réfugiés
Serait immoral pour nos âmes de fer
 
Aider les pauvres à survivre
Serait un attentat contre l’économie
Mieux vaudrait les laisser mourir
Pour que le peuple ait une belle physionomie !
 
Aimer son prochain est devenu ringard
La haine est l’art ultime de ce temps
Rien ne vaut la nuit ou le brouillard
Pour l’énorme foule des méchants…
 
La Liberté ne vaut que pour « les purs »
L’Egalité ne concerne plus que les nationaux
La Fraternité n’existe qu’écrite sur des murs
C’est la mort des plus nobles idéaux…
 
A force de s’endormir sur la démocratie
A force de rejeter l’universel Amour
A force d’user de toutes sortes de tromperies
Seule la confusion gagne… comme toujours…
 
Pourquoi oublier, une fois encore
Les cruelles leçons de l’Histoire ?
Pourquoi préférer les ténèbres aux aurores ?
Et vouloir encore effacer toute mémoire ?...
 
©Jean Dornac
Lyon, le 27 septembre 2015  




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14 septembre 2015 1 14 /09 /septembre /2015 06:44
Sur le chemin des fleurs – Jean Dornac
Photo J.Dornac©
 
 
 
Sur le chemin des fleurs
Je veux conquérir le bonheur
Elles sont figure d’innocence
Autant que de belle abondance
 
La fleur est l’une des images
De la perfection et de la beauté !
Des femmes, elle est l’apanage
Elles sont semblables pour l’éternité !
 
Quelle que soit la forme de leur cœur
Ou la puissance de leur parfum
Nul besoin des mots d’un flatteur
Pour qu’elles échappent au commun…
 
Les unes et les autres captivent nos vies
Comment imaginer pouvoir leur résister ?
Par séduction, elles développent nos envies
Et l’homme, toujours, sera leur prisonnier…
 
Imaginez une sublime femme
Entourée de fleurs ô combien magiques…
Y voyez-vous un quelconque drame ?
Non, il n’y a qu’harmonie et belle logique…
 
Il ne faut user que de mots doux
Pour les unes comme pour les autres
C’est le seul moyen de conquérir ces bijoux
C’est la seule arme qui demeure la nôtre…
 
Il me suffit de contempler une rose
Pour ressentir les élans d’un fol amour
Quelque chose qui ne peut qu’être grandiose
Pour me transformer en éternel troubadour…
 
©Jean Dornac
Lyon, le 13 septembre 2015  




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31 août 2015 1 31 /08 /août /2015 06:49
Femme battue – Jean Dornac
 
 
 
 
Tu es là, agneau fragile
Comme un animal sacrifié
A la folie d’un mâle débile
Qui ne sait que frapper
 
Tu es là, belle encore
Mais déjà marquée par les coups
De l’imbécile qui frappe ton corps
Jusqu’à ce que tu sois à bout…
 
Pourquoi ne quittes-tu pas
Ce monstre, cette infecte brute
Qui sans cesse lève son bras
Et dont l’ultime désir est ta chute ?…
 
Ô pauvre fleur d’amour
Ta beauté, sous les heurts, flétrit
Il est trop pénible le poids de tes jours
Tu as épousé un salaud en guise de mari…
 
Cet ours sans cervelle
A osé porter sa main sur toi
Toi qu’il disait la plus belle
Prétendant être ton roi !
 
A jamais, il ne sera
Qu’un triste bourreau
Quelque chose d’un rat
Bourré comme un tonneau !
 
Stupide jusqu’au bout des doigts
Il ignore combien tu es fragile
Il n’a que faire de l’amour et de ses lois
Il n’y a que dans les coups qu’il est agile !
 
Comme tous les crétins, il a peur
L’arme des demeurés reste la violence
Il prétend encore t’aimer avec chaleur
Alors, il te frappe en forte cadence…
 
Et toi, tu subis, tu cries, tu supplies
Rien ne sert face au déchaînement du fou
Il serait plus prudent que tu le quittes et l’oublie
Avant qu’il ne te tue à force de folie et de coups…
 
Quitte l’enfer qu’il t’impose
Ce n’est qu’un ange du mal
Tu n’es pas sa chose
Quitte enfin, ce maudit bal…
 
Quitte ce monde de la mort
Reviens chez les vivants
Pour connaître des jours forts
Fais renaître en toi la sublime enfant…
 
©Jean Dornac
Lyon, le 30 août 2015
 



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