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26 septembre 2016 1 26 /09 /septembre /2016 06:41
L’enlacement – Jean Dornac
 
 
 
 
Est-il un geste plus simple et affectueux
Que l’on aime de l’enfance à la vieillesse
Qui se pratique pour rendre l’autre heureux
C’est un acte d’une très réelle noblesse !
 
Mais il arrive, après une rupture
Que l’on perde cette merveille
Et l’on comprend la lourde blessure
On sait que plus rien ne sera pareil…
 
Je n’ai plus que le vide qui m’enlace
Et c’est la vie qui, sans toi, me lasse
Où sont passés les bras de l’amour
Qui devaient m’enlacer pour toujours ?
 
Dans l’arc de tes bras j’étais en sécurité
Dans ton étreinte, je me savais aimé
Mais depuis que tu les as retirés, un soir
 Ma vie se décline en couleur noire…
 
Nous étions pourtant bien tous les deux
Lorsque nos âmes dansaient dans nos yeux
Nous n’avions guère besoin de parler
Pour savoir combien nous étions aimés
 
Qu’a-t-il de plus que le mien, ce nouveau cœur
Qui soudain a surgi dans ta vie pour détruire
Et installer dans mon esprit une sinistre peur
De perdre ce que nous voulions construire ?
 
Depuis que tu le connais lorsque tu m’enlaçais
Etait-ce ton cœur qui encore m’aimait
Ou l’horrible vipère me mordant au cou
Injectant son mortel venin pour que je devienne fou ?
 
Et tu es partie, oubliant même un dernier enlacement
Pour rejoindre au plus vite, le voleur, ton amant !
Oui, le vide seul t’a remplacée depuis ce sinistre jour
Où j’ai compris que le mensonge ressemblait aussi à l’amour…
 
Il fut doux, le poids de tes bras sur mes épaules
Il est écrasant celui de sa cruelle absence
Je pourrais bien parcourir toute la Gaule
Que je ne trouverais plus à ma vie le moindre sens…
 
©Jean Dornac
Lyon, le 25 septembre 2016



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12 septembre 2016 1 12 /09 /septembre /2016 06:51
Ouvrir les yeux… - Jean Dornac
 
 
 
 
As-tu déjà regardé le cœur d’une rose ?
Même si tu es trop aveugle pour voir
Sache qu’il vit et s’offre tous les ans
Pour le bonheur de chaque être vivant !
 
Sais-tu écouter les murmures du vent
Ou sa fureur lors des tempêtes ?
De plus en plus au cours des ans
Il montre sa colère et devient ouragan !
 
Entends-tu la rumeur des vagues
Au cœur des immenses océans ?
Ils sont pris de rage et de folie
Parce que notre orgueil les détruit…
 
Comprends-tu que la nature n’en peut plus,
Qu’elle est à bout de forces et d’usure ?
Vois-tu combien nous l’avons pillée ?
Combien notre prétention l’a méprisée ?
 
Entends-tu encore le chant des oiseaux ?
Mais non, ils quittent nos villes
Sans aller dans nos campagnes !
Où qu’ils se réfugient, la mort les attend…
 
Pour nos rendements illusoires
Nous empoisonnons nos champs
Tuant herbes et animaux
Mais encore nos clients…
 
Est-il encore temps d’ouvrir les yeux
D’écouter l’alarme portée par les vents
Pour tenter de sauver ce qu’on peut
Avant qu’il ne soit vraiment trop tard ?
 
Les prétentieux qui « savent »
Rient de nos alertes
Orgueilleux jusqu’au bout de l’âme
Ils n’ont foi qu’en leurs savoirs et pouvoirs !
 
Ô folie ! Ô pauvres petits humains
Les mêmes qui détruisent la nature
Prétendent connaître la potion
Pour sauver notre unique maison !
 
Que se lèvent les peuples
Qu’ils usent de leur sagesse
Pour que notre planète
Ne se transforme pas qu’en cimetière…
 
©Jean Dornac
Lyon, le 11 septembre 2016



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29 août 2016 1 29 /08 /août /2016 06:47
Vivre ou mourir – Jean Dornac
 
 
 
 
 
Vivre ou mourir
Vaste objet de délire
Aimer ou s’aigrir
Peut-être faut-il en rire ?…
 
La vie est ainsi faite
Qu’on imagine faire des choix
Mais au fil des défaites
On comprend que rien ne va droit
 
L’orgueil est, certes, puissant
Mais il n’est bon que pour les pédants
L’humble depuis toujours a compris
Que nous ne sommes pas maîtres de la vie…
 
C’est comme si un autre décidait
Du sort qu’on nous réserve !
Et quoi que l’on voudrait
Nos rêves ne resteraient qu’infimes verves…
 
Et si nos vies n’étaient que vastes comédies ?
Nous pourrions à notre guise les arrêter…
Mais si un Dieu existe, quelle tragédie
Ce serait l’enfer pour l’éternité !...
 
S’il n’est point de Créateur de nos jours
Au final, quelle frustration !
Ce sera, comme on dit, pour toujours
Un ciel vide ! Quelle punition !
 
Avec ou sans dieux, les puissants sont assez cons
Pour nous faire croire que leurs actes sont bons !
Vivre à genoux ou couverts de tyranniques voiles
Qu’importe la religion, c’est juste une folie dessinée sur la toile !
 
Alors, vivre ou mourir qu’importe
Si nous ne sommes pas libres
De franchir les imaginaires portes
Des pouvoirs sans équilibre !
 
Aimer ou s’aigrir, qu’importe
Si nos cœurs ne sont pas libres
De choisir nos ultimes envols
Et de douleur en rester ivres…
 
©Jean Dornac
Lyon, le 27 août 2016



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15 août 2016 1 15 /08 /août /2016 06:40
J’aimerais – Jean Dornac
 
 
 
 
J’aimerais être le vent
Pour mieux t’entourer
Toujours mieux t’enlacer
Et encore mieux adorer ton corps
Dédié pour toujours à l’amour…
 
J’aimerais être l’eau
J’aurais le droit d’aller partout
Tu n’aurais plus de secret
Je pourrais alors vraiment t’adorer
Toi qui est l’image de l’amour…
 
J’aimerais être l’air
Cet air que tu respires
Car alors je deviendrais toi
Jusqu’au plus intime de ton cœur
En pure osmose de parfait amour…
 
J’aimerais être un esprit
Qui pourrait pénétrer
Jusqu’au plus profond de tes pensées
Qui ne peuvent qu’être merveilles
Et mille couleurs d’amour…
 
J’aimerais devenir ton amant
Oublier tout ce que je viens de dire
Pour m’offrir tout entier
A ton cœur et ton âme
Par don absolu d’amour…
 
J’aimerais tout ce que tu es
J’aimerais tout de toi
Je ne verrai que tes qualités
Je ne verrai jamais tes défauts
Car ton cœur habiterait le mien…
 
©Jean Dornac
Lyon, le 14 août 2016


 

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1 août 2016 1 01 /08 /août /2016 06:54
Faux dieu – Jean Dornac
Scène du massacre des innocentsLéon Cogniet
Voilà l'oeuvre de Daech, le massacre des innocents…
 
 
Lorsque la peur s’empare de nous, nous avons tendance à mettre nos mains sur nos yeux pour ne pas voir et les mains sur la bouche pour ne pas crier. C’est là l’une de nos erreurs…
 
Face aux actes monstrueux de suppôts de Daech, il faut au contraire ouvrir grands les yeux pour comprendre ce qu’est ce groupe criminel et ses bourreaux ; comprendre que ce n’est pas la foi qui les guide ; comprendre que l’immense majorité des musulmans, en France et ailleurs, n’a rien à voir avec cette abomination ; comprendre que leurs dieux s’appellent : convoitise, jalousie, orgueil, attirance de la mort, celle des autres et la leur.
 
Ce poème n’a pour raison d’être que d’essayer de montrer le vrai visage de ces monstres qui n’ont ni cœur, ni âme, ni conscience, ni foi en Dieu ou en l’homme, qui haïssent la vie et qui ignorent tout de l’Amour… (Jean Dornac)
 
* * *
*
 
Je hais la violence qui détruit les cœurs
Je hais la haine qui détruit les âmes
Qui met le feu dans les consciences
Qui tue l’Amour et les innocents…
 
Il en est qui se prétendent soldats
Mais ne sont qu’ignobles lâches
Rien que des brutes pour tuer femmes
Enfants et vieillards sans armes…
 
Ah la glorieuse armée que voilà !
Il faut remonter loin
Pour retrouver de tels misérables
Jusque dans les rangs des hordes d’Hitler…
 
La lâcheté comme étendard !...
Il fallait bien se montrer
Sous ce noir jour pour enfin affirmer
Etres les vrais défenseurs des Enfers !
 
Ils se proclament croyants ?
Oui, mais, qui est leur dieu ?
Pas un dieu d’Amour
Juste un haineux dieu du mal…
 
Puisse la Lumière des Justes
Des porteurs d’Amour
Ouvrir les yeux de leur âme
Et leur révéler leur noirceur
 
Puissent ces loups
Enfin devenir agneaux
Afin qu’ils comprennent
Leurs terribles erreurs !
 
Qu’ils comprennent
Qu’une poignée de chefs fous
Leur ont volé âme et conscience
Pour en faire les bourreaux de l’innocence…
 
Dieu ne peut pas être un monstre
Ils adorent donc des faux dieux
Prétextes de leurs ambitions
Enjeux de leur folie d’orgueil
 
Paix aux vrais croyants
Ceux qui portent l’Amour
Quelle que soit la religion
Et compassion pour les faux-jetons !
 
Les égarés qui tuent par plaisir
Ou pour flatter leurs maîtres
Si Dieu existe vraiment
Qu’ils espèrent Son pardon…
 
Mais qu’avant tout
Ils abandonnent loyalement
Leurs dieux tueurs de femmes et d’enfants !
Sinon, où trouveront-ils la rémission ?...
 
Ce ne sont pas leurs faux-dieux
Qui leur offriront la paix
Ce n’est que le regret profond de leurs crimes
Qui leur vaudra une telle alliance de pardon…
 
Sinon, ce n’est pas Dieu qui les jugera
Pas même leurs victimes
Mais seulement leur conscience
Qui les maudira pour leurs crimes…
 
©Jean Dornac
29 juillet 2016

 
 
 
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18 juillet 2016 1 18 /07 /juillet /2016 06:40
Abjects terroristes – Jean Dornac
Dessins de Plantu, Castelbajac et Louison - (Capture d'écran sur Twitter)
 
 
 
 
En partance pour les Enfers
Ces « soldats » semblent si fiers
Mais ils ne sont que des assassins
Des frelons venus d’un cruel essaim…
 
Leur couleur de prédilection
Reste le plus ténébreux des noirs
Le Mal étant leur suprême élection
Ils sont devenus sombre dépotoir…
 
Ils ne sont que des lâches
Tuant femmes et enfants
Basses besognes et lamentables tâches…
Ce sont des criminels, pas des « combattants »…
 
Ils aiment à se faire exploser
Espérant trouver soixante-dix vierges
Mais il n’auront que des sorcières ridées
Et dix mille coups de verge…
 
Ô monstrueuse dérive
De ces êtres qui se disent croyants !
Alors que leur esprit est sur la rive
Des folies de tous les temps…
 
Tuer et mourir est leur bonheur
Croyant en un ciel fait d’horreurs
Ils sont les serviteurs des démons
Qui hantent leurs âmes et sermons…
 
Ils se prétendent « élites » des croyants
Mais ne sont que les misérables bourreaux
D’une foule de justes et d’innocents
Sans arme ni défense tels de tendres agneaux…
 
Oui, la vie pourrait être belle
Si le monde n’était peuplé de fanatiques
Qui n’ont ni cœur ni cervelle
Et face à l’Amour sont toujours allergiques…
 
©Jean Dornac
Lyon, le 17 juillet 2016
 




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12 juillet 2016 2 12 /07 /juillet /2016 09:48
En mémoire de mes amis poètes disparus…En mémoire de mes amis poètes disparus…En mémoire de mes amis poètes disparus…
 
 
Il y a un peu plus d’un an, disparaissait brutalement Annie Mullenbach. Il y a quelques mois, c’est Thierry Deschamps qui nous a quittés et aujourd’hui, j’ai appris le décès d’Abderrahmane Zakad
 
A tous les trois, je veux rendre hommage, peu importe la date de leur disparition, ils sont entrés dans l’éternité. Je leur rends également hommage pour la confiance dont ils ont témoigné en me confiant leurs poèmes à publier…
 
Si un dieu existe, j’espère qu’il accueille les poètes, pas seulement eux, bien sûr, mais eux parce qu’ils ont été porteurs de Lumière, d’Espérance et d’Amour…
 
Jean Dornac
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4 juillet 2016 1 04 /07 /juillet /2016 06:51
La machine infernale – Jean Dornac
 
 
 
 
Les heures s’écoulent lentement
Comme si elles s’excusaient
D’exister sans le leur avoir demandé
Comme si elles voulaient ne pas s’imposer
 
Elles ne manquent pas d’humour
Ces heures quasi mécaniques
Qui passent pour qu’on trépasse
Avec leurs sourires ironiques…
 
Et de fait, qu’avons-nous souhaité
Avant d’arriver ici-bas, sur cette terre
Qui ne sait qu’engendrer la misère
Parsemée d’un peu de beauté…
 
Les jours s’effacent doucement
Comme nos traces sur le sable fin
Sous l’écume du temps qui trépasse
Au rythme d’un cheval de course…
 
Les ans rapidement disparaissent
Aspirés par le trou noir du néant
Cette chose étrange sans début ni fin
Qui absorbe tout ce que nous sommes…
 
La vie passe si vite après l’enfance
Qu’on dirait qu’une gomme mauvaise
Nous poursuit pour mieux supprimer
Les quelques traces que nous risquions de laisser
 
Oui, elle est folle la spirale de nos jours
Elle s’affole à mesure que le temps passe
Elle s’emballe quoi que l’on fasse
Oubliant tout, même la beauté de l’amour…
 
Qui donc est à la commande
Du mécanisme infernal
Qui impose rides et morts
A tout ce qui fut vivant ?
 
Ce n’est pas même une loterie
Que l’on soit petit ou grand
On disparaît dans le même tourbillon
Après une trop courte et ridicule pirouette…
 
Jean Dornac
Lyon, le 3 juillet 2016



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20 juin 2016 1 20 /06 /juin /2016 06:46
Regards – Jean Dornac

 

Photo J.Dornac©
 
Poème inspiré par l’œuvre de « Anne B. Sculptures » nommée « Regard » que j’ai prise en photo avec son autorisation.
 
 
 
Plonger mon regard dans le tien
Comme s’il ne devait plus y avoir de lendemain
Me fondre dans ton visage
Qui jamais plus n’aura d’âge
Tant je te trouve belle
Tant ta beauté sera éternelle
 
Trouver le mystère de ton âme
Dans le vert de tes tendres yeux
Découvrir dans tes pupilles la femme
Celle qui me fait gravir les cieux…
Ecouter battre ton cœur
Criant l’intensité du bonheur…
 
Plonger mon regard dans le tien
Celui d’un homme si tendre et beau
Et savoir que tu te donnes pour devenir mien
Prendre avec toi enfin le bateau
Qui nous mènera sur l’archipel et les Îles
Que forment tes superbes cils…
 
Trouver les failles de ton cœur
Pour m’y glisser à toute heure
Rechercher tes faiblesses
Pour vaincre toutes nos détresses
Etre de ton cœur la tutrice
Et de ton âme la cantatrice…
 
Plonger nos regards dans notre amour
Face à face, main dans la main
Pour vivre chaque instant de chaque jour
En osmose et cœurs carmin
Marcher ensemble vers l’avenir
Pour que nul ne puisse nous désunir…
 
©Jean Dornac
Lyon, le 18 juin 2016
 

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« Anne B. Sculptures » - Photo J.Dornac©
Regards – Jean Dornac
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6 juin 2016 1 06 /06 /juin /2016 06:44
Au bout du chemin – Jean Dornac
 
 
 
 
Au bout des marches de la vie
J’enfoncerai les portes de la nuit
Il fut épuisant et parfois effrayant
L’escalier des jours à gravir tous les ans
 
Pour arriver enfin en cet endroit
Entre brûlante lumière et triste néant
Espérance d’éternel bonheur de la foi
Ou vide attendu par tous les mécréants…
 
Cette vie à profusion
Etait-elle autre chose
Qu’une vaste illusion
Qu’une folie à forte dose ?
 
Etions-nous vivants
Ou ne faisions-nous que semblant ?
Un rêve peut être tumultueux
Comme un astre qui explose dans les cieux…
 
J’ai gravi les sentiers du haut mont
Celui qui se cache derrière les nuages
Bien sûr, j’ai reçu quelques dons
Mais qu’en ai-je fait au bout de l’âge ?
 
J’ai cherché quelques Vivants
Mais je n’ai rien vu de ressemblant
J’ai enfoncé la porte des étoiles
Mais je n’ai vu que d’éphémères voiles…
 
Alors, de rage, j’ai exigé la Vérité
Rien qu’un épais silence me fut donné…
Et gravé dans le ciel : Bientôt, il sera l’heure
D’embarquer pour l’ultime demeure !
 
Alors viendront enfin les réponses
Par un grand Tout ou un grand Rien !
Je saurai enfin si Tout n’était que ronces
Ou si Rien était vérité de tout bien…
 
©Jean Dornac
Lyon, 5 juin 2016  


 

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