Tu peux dire que je suis barrée, je ne vais pas changer. Tu diras que je suis tarée, c’est parce que tu n’arrives pas à m’assumer. Toi, le conformiste de la médiocrité, ne me demande pas d’être ce que je « devrais » Je suis peut-être à côté de mes pompes, mais, je sais exactement pourquoi je me trompe. C’est à cause de regards comme le tien, qui viennent d’un ongle imposant sa définition du bien. Pour moi ce n’est absolument rien, J’ai mes opinions et je m’y tiens, J’ai ma propre définition de ce qui n’est pas pour les chiens. Mon tempérament est tout simplement humain !
Parle-moi de tes rêves tu réveilleras les miens. Donne-moi tes idées titille mon instinct. Dis-moi ces souhaits qui ont hanté le passé. Rappelle mon instinct, donne moi tes idées.
Ainsi je vais te suive, je marcherai sur tes pas et je vais même survivre, tu ne me perdras pas !
Rappelle-toi, au clair de l’enfance, au rythme de l’imprudence, des rires au silence, le sang n’a pas connu d’absence. Au clair de l’enfance, beaucoup de clairvoyance, la main dans la main, avenir commun.
Prête-moi tes souvenirs que je revois nos sourires, a travers tes yeux ou nous serons toujours deux. Prête-moi tes rêves, mon sang, mon frère, aujourd’hui et demain qu’ils s’élèvent en prières. Titille mon instinct, prête moi tes rêves pour inspirer les miens comme au clair de l’enfance Où… la main dans la main.
J’ai rencontré une âme, elle était si belle et je suis tombé sous son charme. Des cimes de son monde, elle a su me comprendre, elle a su me voir et, en moi elle a su croire Si loin mais si proche, le cœur qui se perd et qui s’accroche Je n’avais pas ce droit, mais le cœur ne connaît pas de loi. J’ai voulu prendre sa main elle a dit « je ne suis qu’une âme ! » J’ai voulu la serrer contre moi, elle a dit « tu ne peux pas ! » J’ai voulu la capturer, la mettre dans ma chair à jamais. Avec tendresse, elle a dit « regarde bien, je ne suis qu’une âme ! » Ébloui par sa présence, ébloui par son aisance, j'ai voulu la surprendre et m’agripper Elle a souri et elle a répété … Malgré ça je ne cesse de la vouloir sans savoir si mes sentiments sont fondés « Vois-tu belle et mystérieuse âme, J’ai le cœur en flamme et, Je n’ai que faire de ce que tu peux bien être ! » « Oh, mais je ne suis qu’une âme. Tu ne m’aimes pas d’amour tu me voues de l’admiration ». « Belle âme je me fiche bien de comment je t’aime. Ce que je sais, c’est que je t’aime et non tu n’es pas qu’une âme ! » L’âme s’envola subtilement emportant avec elle la confusion des sentiments.
Aime si cela te chante, mais prends bien garde à ne pas perdre de vue qui tu es. A trop aimer, à trop vouloir donner, on s’oublie soi-même et, alors, on manque de simplement s’aimer. L’estime de soi t’évitera de solliciter les faveurs du temps qui remplit bien sa mission mais, au prix douloureux de l’attente avec le fardeau des sentiments.
Quand le temps fait son boulot, tout reprend sa place. Il fait son travail pour que justice du cœur se fasse. Ça ne fait plus ni froid ni chaud, c’est le juste retour des choses après la tempête et le chaos. Quand le temps vieillit les blessures, il atténue la douleur de l’âme. Le souvenir moisit et la passion se calme. Ça ne fait plus ni chaud ni froid, c’est le temps qui fait le choix. Le sentiment de solitude te pousse vers l’habitude. Ton cœur se fait rebelle et, toi tu n’attends plus de nouvelles. Quand le temps a rempli sa mission, tu te libères de tes pires sentiments. Ça ne fait plus ni chaud ni froid, tu te renforces et tu gardes la meilleure des leçons.
Je dédie ce poème à une amie pas comme les autres. C’est un personnage unique, adorable et formidable. Pour toi, Naima !
Tu es formidable, même quand tu dis que je t’embête. Tu es adorable, dans tes expressions les plus bêtes. Tu es la grandeur dans l’ordinaire, la bonté du cœur et sa lumière !
Tu es unique en ton genre, dans tes idées et tous tes efforts. Une petite lumière qui étincelle, la beauté du cœur qui ensorcèle !
Tu t’étonnes de tout, insolite ou banal, tu donnes son importance au moindre petit détail. Tu te saisis de tout avec ou sans faille, tu donnes de la valeur au moindre petit détail. Une naïveté sans pareille, l’intelligence du cœur dans son plus simple appareil !
Tu es formidable ! Formidable et adorable dans tes expressions les plus bêtes qui font que, moi, je t’embête. Tu es formidable !
Continue d’être ce que tu es et, moi, je serai toujours là pour t’embêter. C’est aussi ça l’amitié !
Là-haut dans l’azur, là-haut dans l’infini. Je contemple les horizons, Les coins perdus de l’oubli. L’azur m’élève pour mieux voir les jardins de la différence, qui cultivent l’identité avec la reconnaissance. Des jardins qui mélangent en abondance tout ce qui ne peut franchir les limites de la tolérance. C’est là que je te vois de là-haut, tu te fais ton coin qui grandi qui s’étend, Il est gay il est beau, il s’épanouit dans les murmures du vent. Tu es le parfum des roses, tu es le parfum du jasmin Tu puises ton énergie dans le regard de l’azur, et c’est de là que je te bénis c’est de là et que je te rassure. C’est dans le bleu de mes espérances, dans cette étendue saphir, que je dessine les fortunes des contraires qui cohabitent et qui s’attirent. Le regard de l’infini n’a pas de limites, le regard de l’azur est éternel. Il se pose sur toi et tu étincelles, une partie de lui unique et sans pareil. Oui, tu es l’azur dans sa grandeur et son allure tu domines les horizons l’infini qui de sont éclat azure l’espace et le temps…
Au début de l’enfance, elle n’est ni proche ni présente. Prélude d’avenir pour l’innocence encore blottie dans l’inconscience, c’est le départ d’une danse longue est éprouvante. Celle qui paraît si éloignée, n’est réelle que pour ceux qui n’ont pas eu de chance et qui combinent à leur danse une dévorante souffrance. Pas à pas on fait sa connaissance, mais instinctivement on garde la confiance. On croit en celle qui berce nos espérances, en jouissant de trésors qui deviennent dépendances. On oublie celle qui se nourrit d’indolence, on vagabonde et on garde la cadence. On apprend bien tard, pour le vivre comme un cauchemar. L’une nous séduit d’apparences, l’autre prend et nous offense. L’une est profit et abondance, l’autre est vide, est absence. L’une est tout simplement la scène de nos performances, l’autre est cruelle critique et unique audience. Malgré tout on se rue sans prudence, et on se voit trahi par la négligence. On se bat pour l’indépendance, et on est pris par les circonstances. La vie nous distrait puis nous abandonne, et la mort nous entoure puis nous emprisonne. Elles se disputent notre peau, nous ne pouvons dire mot. Toutes deux sont mystère, nous ne sommes que poussière. La vie nous attire, mais il faudra mourir. Et pour ne rien laisser derrière, on s’accroche à des prières.
Je dédie ce poème à toutes les personnes uniques et exceptionnelles mais, qui vivent dans l'ombre de la peur... Ouvrez-vous les amis, vous êtes magnifiques comme les étoiles !
Dans ma prison dorée, je me sens oppressée. J'aime ce dont je suis entourée, pourtant j'aimerais m'en libérer.
Dans ma prison dorée, je m'invente des libertés des rêves et des choix, auxquels personne ne croit
Ma prison dorée, me procure de la joie, Ce au prix, je crois, de quelques conditions de quelques lois.
Dans ma prison dorée, je me sens oppressée. J'aime ce qui m'entoure, pourtant l'air parait si lourd !
Amoureux de l'écriture, poésie, romans, théâtre, articles politiques et de réflexions... Amoureux encore de la beauté de tant de femmes, malgré l'âge qui avance, la santé qui décline, leurs sourires ensoleillent mes jours...