10 octobre 2013
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Infographie © Thierry Deschamps
C'est une journée inoubliable, elle se conjugue donc au présent !
Ils se disent Oui à la mairie et le confirme au sein du temple.
Ils resplendissent de bonheur, et leur enfant qui les contemple,
Partage ce merveilleux moment, avec leurs amis et parents.
C'est un regard vers l'avenir, il est tourné vers le futur !
Ils s'engagent là dans l'amour, partent sur le chemin de la vie,
La joie, le bonheur, ses défis, des jours heureux, d'autres plus durs,
Une ballade qu'ils feront ensemble, c'est le bonheur qu'ils ont choisis.
Cette plénitude qui les rassemble, ne néglige pas leur passé !
Et les amis sont bien présents, rencontrés au fil du temps,
Et la famille aussi, bien sûr, partage ce jour d'une rare beauté,
On verse même quelques larmes, mais de bonheur évidemment.
C'est une journée formidable, elle est gravée dans ma mémoire !
Un doux moment de pur plaisir, où l'âme trouve félicité,
Où l'on oublie tous les soucis et où l'on se tourne vers l'espoir,
Votre bonheur est merveilleux, merci de l'avoir partagé.
~~*~~
©Thierry Deschamps
http://www.tendresse.le-spleen-de-zarathoustra.fr/mariage.html
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Thierry Deschamps
9 octobre 2013
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http://www.eclatdambre.com/lesbienfaitsdela/index.html
Ce fut d’abord un balbutiement
Comme celui de la source
Qui découvre le jour,
Puis vinrent les filets
Tendus sur les abîmes
Où se prirent nos âmes.
Se furent des mots glissés
Dans l’ombre d’autres mots
Qui lavèrent le sang
Sur la pierre éclatante du matin.
Il y eut le silence
Empli de ton silence.
Tu me laissas entrer dans la chambre d’ambre *
Embrasée de soleil
Et ton amour diluvien
M’inonda de sèves et de larmes.
Le temps et l’espace
Se jouaient de nos folies,
Nous avions tout oublié de la vie, de la mort.
Entre les berges de soie grège
Où coulaient les rivières infinies du plaisir
La nuit nous surpris enlacés
Tels des gisants
Sur le blanc mausolée des passions.
© Denise Bernhardt
* La chambre d’ambre de Catherine II de Russie est une salle décorée de 100 m2 de panneaux d’ambre. Ils furent offert à
Pierre le Grand par Frédéric le Grand de Prusse en 1716.
On peut l’admirer au Palais Catherine à Saint Pétersbourg.
Poème extrait du recueil « Tremblements de cœur » écrit à deux plumes par Denise Bernhardt et Yves
Romel Toussaint. Éditeur : Le Vert-Galant. Ce recueil est né à la suite du tremblement de terre du 12 janvier 2010.
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Denise Bernhardt
8 octobre 2013
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07:20
http://forum.cancoillotte.net/viewtopic.php?f=54&t=12514
Alors qu’ont disparu
Dans l’automne assombri
Les zébrures sifflantes
Des hirondelles,
L’hermine rôde la nuit
Autour des poulaillers.
Son corps sinueux
Tricote les mailles des grilles.
A l’envers, à l’endroit,
Elle connaît d’instinct
La science des boucles
Et le cloisonnement des nœuds.
Bientôt elle déclenche
Une panique générale,
Sonore et constellée de plumes !
© Luce Péclard
Extrait du nouveau recueil de Luce Péclard, « Pars si tu peux » aux éditions du
Madrier
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Luce Péclard
7 octobre 2013
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http://lejardindeden.centerblog.net/1136-de-nouveaux-cieux-et-une-nouvelle-terre?ii=1
Que le globe terrestre cesse d’exister
Qu’il disparaisse réapparaisse redisparaisse
Qu’il re-redisparaisse sans cesse—s...s...s...
Qu’il re-re-redisparaisse encore et encore...
Et que tu restes...
Et que je reste...
Et que jamais le globe terrestre ne réapparaisse plus...
Et que, comme Dieu, nous arrivions à créer
une nouvelle terre en six jours
En six jours de plaisirs érotiques
sans pause
Une nouvelle terre sans classes sociales
sans catastrophes naturelles
sans guerres
sans catastrophes provoquées
© Ricarson Dorce
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Ricarson Dorce
6 octobre 2013
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http://www.armenews.com/article.php3?id_article=35620
Amis… vous qui passez
près de ma tombe ouverte
à l’heure incertaine
où les ombres en s’étirant
deviennent des visages
où le vent n’essuie plus
la lumière posée sur les murs
écoutez les soupirs
du ciel qui vous regarde…
Je suis la bouche
de l’espace infini
et l’aiguille de l’heure…
Je suis le soir qui s’allume
et le jour tout neuf
qui raconte le paysage
mais aussi
l’illusion tranquille
d’une matière vive
qui égare vos yeux
en effaçant vos pas…
Je suis le souvenir
suspendu à la pierre
des chemins empruntés
par le rêve de l’homme…
Je suis le sang
de l’œuvre
insolente et périssable
que vous entreprenez…
Hommes lents et fragiles
entre la lune et le soleil
vous ne laisserez jamais
que la trace d’une ombre
sur une roche usée…
… Mais je demeure en vous
comme le grain de sable
solitaire et minuscule
que nul ne peut traverser…
© Victor Varjac
Antibes, le 26 novembre 1999
Extrait du recueil « l’Homme Imaginaire » aux éditions
MELIS
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Victor Varjac
5 octobre 2013
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http://tritriva.unblog.fr/2009/09/02/de-la-tendresse-avant-tout/
La tendresse du cœur !
Tu as les yeux très bleus,
Tout ronds comme des billes.
Quand ils sont amoureux,
C'est fin fou comme ils brillent.
Tu joues avec mon cœur.
Tu es comme un jongleur.
Lorsque tes mains caressent,
Me tiennent ou me délaissent,
Tu joues avec mon coeur !
Enfant de la balle,
Fille de la grand'rue,
Tu te fais la malle.
Et je me sens perdu.
Tu joues avec mon cœur.
Reprends la bonne route,
Celle du Petit Poucet,
Tu trouveras sans doute
De son cœur l'accès.
La vie est une balle
Sur un cours de tennis.
On la joue bien ou mal
Tout est dans le service.
Tu joues avec mon cœur.
Tendresse !
Pierfetz©
http://arciel88.fr/bibpoesiespierrot/II%20-%206bis%20-%20LATENDRESSE.htm
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Pierfetz
4 octobre 2013
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© Jean-Michel Folon
Bercée au-dessus de la ville
Par quelques vents comme un doux fruit
Une étoile danse tranquille
Pendue aux branches de la nuit,
Tout semble acquis dans ce silence
Qui nous parle d’Eternité
D’infinis bleus et d’élégance
Qui se balancent sous l’été,
Rien n’est moins vrai car sous la brume
Qui se profile à l’horizon
Dans l’aube jaune qui s’allume
Comme des blés à la moisson
De grands oiseaux coupeurs de lune
S’en vont éteindre dans le ciel
Allant ainsi de l’autre à l’une
Les étoiles couleur de miel,
Fleurs de la nuit, Voix des Poètes,
Que le jour masque de ses peurs
Rendant le monde à ses prophètes
Sous des soleils parfois trompeurs,
Car ces étoiles en poussière
Qui nous rapprochent de la Nuit
Savent déjà que la Lumière
Cache toujours le Temps qui fuit...
© Christian Boeswillwald
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Christian Boeswillwald
3 octobre 2013
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http://fr.dreamstime.com/photo-libre-de-droits-silhouette-le-gens-d-affaires-dedans-image2238765
A cours une manière, étrange,
Sentencieuse assez qui jamais ne dérange,
Facture d’un verdict
L’immuable dixit :
« Les gens » ! Autres baudets de la fable notoire,
Ils font assurément les choux gras de l’Histoire,
« Ces pelés, ces galeux » dont procèdent nos maux.
Quand le censeur indemne de défauts
S’en démarque et, vaille que vaille,
Visant ceci, pas moins cela,
Manque sa poutre et d’une paille
Prise sur eux, en fait un plat !
Foules, aux mœurs inopportunes,
Mères de nos pleins d’infortunes,
Leurs singuliers travers, on les doit indexer
Pour sentences aidant, assez les surtaxer !
Ainsi s’agitent, bons apôtres,
Ceux-là qui nous renvoient à de constantes « Gens ».
Mais décomptant les uns, les autres,
Toujours échappent leurs agents.
Finissons-en de cette énigme
Où triture le paradigme,
Comment en débusquer le type ? A moins,
Que masquant mal où le bât, là, nous blesse,
Par exquise faiblesse,
Nous jouions aux phénix, lors qu’assommants pingouins.
Assez du subterfuge
A jouer contre autrui le maître cabaleur
Le vil art du transfuge :
Puisque les « gens » c’est vous… demandez-leur !
© Claude Gauthier
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Claude Gauthier
2 octobre 2013
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Michel Bénard
1 octobre 2013
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© Adolphe William Bouguereau
Quand le cœur se met à table
Tenant sa plume en main
Il parle de lui
Il parle de ses amours
... Il se raconte ...
Je vous dirai mon âge
à voix basse
raconte-t-il
J’effeuillerai mes ans
Vous dirai ma peine
Ferai verser l’encre
de mon âme
Sur la page blanche
Au feu primitif
de la nuit
Au clair de lune
flottant sur la mer
Du matin premier de la chair
je me souviens
Couchés dans la plaine
Trempés de rosée
Énamourés
Rose, elle était rose
la chair
Se roulant aux vagues de la mer
Où je tanguais au rythme de l’autre
Et battais la chamade Me gonflais
de bonheur
Tendres souvenirs
Difficiles souvenirs
Dont je ne peux taire
l’itinéraire
Récits nus de joies
et de révoltes
J’ai battu fort
sur la terre des aimances
dans les bras des espérances
et aussi
des peines
Et ce cœur aimant
qui sur moi veillait
Comme l’oiseau
sommeille la nuit
Pendant que
La mer montait musicale
jusqu’à la saignée des mots
Que d’orages ai -je dû traverser
dans la lumière nocturne
Là où j’ai creusé ma soif
aux glaciers des primitives écritures
Inépuisable soif
En quête d’un rayon de lune
pour me réchauffer
Cerf-volant des hautes marées
Des battures
Des îles de sable
J’ai souvent pris le large
Pour me sauver
l’âme
et
le cœur
me sauver, moi
Et l’Oiseau de Mer
m’a ouvert ses ailes
depuis
je demeure
dans la chaleur de son nid
Ode©
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Ode