© Les Trois Parques - Marco Bigio
Assise sur boîte de Pandore,
Divine Parque hume l'encens:
Volutes de vie et de mort,
Eternelle offrande en suspens.
Elles étaient trois divinités,
Aussi envoûtantes que félines.
Naissance, vie et mort invitées,
J'ai préféré la plus câline.
Malgré ses ailes bien dressées,
Elle est là suspendue au temps,
Un temps fort de ma vie passée,
Quand les chats ronronnent un instant !
Elles étaient trois divinités,
Aussi sournoises que félines,
Naissance, vie et mort, déité.
La dernière m'est plus sibylline.
Quand l'astre d'or se couchera,
Tout ce petit monde en sommeil
Me reprendra toutes ses merveilles
Et mon rêve s'évanouira.
Pierfetz©
Décembre 2003
http://arciel88.fr/bibpoesiespierrot/IV-10Troisparques.htm
Voir en fin de page d'accueil du blog, la protection des droits