© Alfred Stevens
Qu’y a-t-il de plus émouvant
Qu’une femme qui s’abandonne
A l’amour de son bel amant
Qui de son cœur la couronne ?
J’ai hâte de lire dans tes yeux
Ce désir de tous les amoureux
Afin que l’amour s’accomplisse
Et que le bonheur s’esquisse
Je sais la force de ton regard
Je sais l’attrait qu’exerce ton corps
Ton cœur est ton étendard
Et je le cueille comme un trésor
Viens te lover dans mes bras
Glane la chaleur de mon torse
Goûte ma passion sans entorses
Vivons notre tendre opéra…
Chasse enfin toutes tes peurs
Pour que s’éloignent tes pleurs
Savoure la tendresse du moment
Qui nous rapproche du firmament
Abandonne-toi, ô mon amour
A la voix de ton troubadour
Il chante ta sublime beauté
Par son cœur émerveillé
Accepte toute ma douceur
Partageons notre tendresse
Vivons-les dans l’allégresse
Loin des fausses pudeurs
A nous deux, créons l’espace
D’une félicité sans carapace
Dans le tendre abandon
D’un amour tout en don…
© Jean Dornac
Paris, le 21 septembre 2012
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