27 septembre 2024
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En réponse à la pierre
sur mon chemin semée
par un dieu téméraire
qui tel l’a décidé
Vais conter sans manière,
en mépris de sonnet
bien qu’en filant des vers,
que son « coup m’a sonnée »
Car fauché de travers
dessous l’herbe et le pied,
le caillou n’eût que faire
du sang qu’il fît couler
Lors me déplace sur l’air
du refrain bien connu :
« J’ai pied qui ne va guère
un pied qui ne va plus » .
© Jeannine DION-GUERIN
(inédit du 24/09/2024)
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