22 septembre 2020
2
22
/09
/septembre
/2020
06:27
Texte dédié au grand calligraphe et ami Ghani Alani,
Ce n’est qu’un instant qui s’étire,
Ce n’est qu’une mouvance émerveillée,
Ce n’est qu’une étonnante embellie,
Dont le silence n’a de sens
Que par le glissement du pinceau de soie,
Ou l’expression de l’arabesque du calame.
Ce n’est qu’un instant qui s’étire,
Par le frémissement irisé
De la note d’encre
Sur l’inconnu de la feuille blanche.
©Michel Bénard.
Voir en fin de page d'accueil du blog, la protection des droits