11 septembre 2020
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22 janvier
Le port, ah quelle aubaine au bout de la tournée !
Un phare tutélaire y lance ses éclairs
Et la côte apparaît au soir de la journée,
Richement adornée, avec ses joyaux clairs.
23 janvier
Perles vives, joyaux, de toutes les couleurs,
Enseignes, feux tournants, lueurs de réverbères,
Une ville insolite illumine ses fleurs
Et parmi ses clartés dans le noir exubère.
24 janvier
C’est la cité nouvelle aux clartés innombrables,
Etoiles recouvrant le sol devenu ciel.
Les rayons aperçus ne sont pas comparables
A ceux de l’autrefois, au lustre artificiel.
25 janvier
Un lustre ou mille et un, le temps ne compte pas
Puisque c’est dans l’instant que l’éternité plane !
Et pour la mesurer, ni crayon ni compas :
Pour la peser non plus, refusée à la glane.
A suivre…
© Luce Péclard
Extrait du recueil de Luce Péclard, « LE GUÉ DES JOURS » aux éditions du Madrier
Extrait du recueil de Luce Péclard, « LE GUÉ DES JOURS » aux éditions du Madrier
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