20 novembre 2017
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Tu m’as entraîné sur le sommet d’un nuage
Toi mon amour qui, là-haut, n’a plus d’âge
Éternellement jeune et de fraîche beauté
Pour parcourir toute l’étendue de l’éternité
Tu m’as pris par le bras avec une ferme énergie
Et dans tes yeux brillaient comme des bougies
Toi mon amour qui, là-haut, n’a plus d’âge
Éternellement jeune et de fraîche beauté
Pour parcourir toute l’étendue de l’éternité
Tu m’as pris par le bras avec une ferme énergie
Et dans tes yeux brillaient comme des bougies
J’ai vu ton corps se métamorphoser
Telle une déesse il était revêtu
D’une simple toge transparente et aérée
J’en restais bouche bée, comme confus
Tant il m’était difficile de te reconnaitre
Toi qui n’avais jusqu’alors cure de paraître !
Telle une déesse il était revêtu
D’une simple toge transparente et aérée
J’en restais bouche bée, comme confus
Tant il m’était difficile de te reconnaitre
Toi qui n’avais jusqu’alors cure de paraître !
Par un prodigieux baiser
Nos lèvres se sont enlacées
Et j’ai senti toute la puissance
Des étoiles, nos amies de naissance
Envahir jusqu’à mes plus petites veines
Tout en laissant mon âme sereine
Nos lèvres se sont enlacées
Et j’ai senti toute la puissance
Des étoiles, nos amies de naissance
Envahir jusqu’à mes plus petites veines
Tout en laissant mon âme sereine
Ensemble, comme dans nos contes d’enfance
Mains tendues vers les contrées immenses
Nous avons volé de concert au-dessus des nuages
Comme si nous étions un couple de mages
Tous deux, nous fûmes envahis
D’une paix étrange loin des âmes ennemies
Mains tendues vers les contrées immenses
Nous avons volé de concert au-dessus des nuages
Comme si nous étions un couple de mages
Tous deux, nous fûmes envahis
D’une paix étrange loin des âmes ennemies
J’aurais voulu qu’il ne s’agisse pas d’un rêve
Mais que nous partions au-delà des limites sans trêve
Car nous avons senti que chaque parcelle
De nos corps étaient mémoires d’étoiles, pures étincelles
Dans un même élan, toi et moi, cœurs unis
Nous avons enfin compris le sens de nos vies
Mais que nous partions au-delà des limites sans trêve
Car nous avons senti que chaque parcelle
De nos corps étaient mémoires d’étoiles, pures étincelles
Dans un même élan, toi et moi, cœurs unis
Nous avons enfin compris le sens de nos vies
Je te regardais et je savais que nous pensions à l’unisson
Qu’il ne fallait pas quitter ce monde pour l’ancien
Ici pouvaient se vivre les véritables passions
Loin des charlatans et ridicules politiciens
Ici, notre amour serait indestructible
Ici, le mal n’atteindrait nulle cible !
Qu’il ne fallait pas quitter ce monde pour l’ancien
Ici pouvaient se vivre les véritables passions
Loin des charlatans et ridicules politiciens
Ici, notre amour serait indestructible
Ici, le mal n’atteindrait nulle cible !
©Jean Dornac
Lyon, le 19 novembre 2017
Lyon, le 19 novembre 2017
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