29 octobre 2017
7
29
/10
/octobre
/2017
07:30
Dans ce passage de songes sans promesse,
Je renifle encore tes larmes âcres sans cesse.
M’aimes-tu ? Enfin, me noierais-tu de caresses ?
Arrive le crépuscule et tu t’effaces dans les nuages
D’un bonheur naïf et simple, écoute-moi, courage.
Je t’aime un peu ne te noie pas dans ces mirages.
L’amour éclot et s’éteint que veux-tu que je te dise
Je t’ai aimé, maintenant des rêveries me séduisent.
Je préfère m’endormir et rêver de toi en guise.
Des ombres me séduisent, dirais-je à tantôt ou adieu.
Tu pleures, tu me tapes sur les nerfs au lieu
De crier je t’aime mais reviens-moi pardieu.
Je te libère, je te félicite, je ne te haie pas tu l’as su
Ce qui est fautif s’en va se pulvérise et est foutu
Mais je te dis que je t’aime un peu me crois-tu ?
©Nancy Turnier-Férère
Voir en fin de page d'accueil du blog, la protection des droits