8 avril 2017
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J'ai le plaisir d'accueillir sur mon blog le poète italien Francesco Casuscelli, devenu un ami ! C'est un honneur pour moi de pouvoir le publier ici... Jean Dornac
A Tassin-la-Demi-Lune ho pensato di volare mentre il bonjour entrava nelle nostre parole Abbiamo camminato insieme intorno all’orologio, il tempo era quello giusto e ti portavo tra le mani nei nostri sogni appena nati Sulla collina del V° arrondissement abbiamo cercato la felicità dentro un mazzo di fiori comprati la domenica mattina al banco del mercato sulle rive della Saône Come era elettrico il futuro nei tuoi occhi quando ti baciai sotto il cielo cobalto di Lione tra i sentieri del parco della Tête d'Or dove fiorivano le rose e il Rodano cantava l’altezza delle alpi. Guardammo i fuochi d’artificio su Fourvière abbracciati “entre nous” in una sera di luglio mentre la folla cantava l’inno “mondiale” (era il 98 e la grandeur era al suo apice). Quanto fu lieve l’ebbrezza del boujolais e delle Lumieres che danzavano sospese nell’aria in Place des Terraux. Si dilata il tempo nella memoria e affiora dalle pieghe dell’anima il piacevole romanzo della vita | A Tassin-la-Demi-Lune Je pensais voler Alors que le bonjour était entré dans notre vie Nous avons marché ensemble autour de l’horloge, c’était le temps approprié Et je porte dans les mains notre rêve nouveau-né. Sur la colline du cinquième arrondissement nous avons cherché le bonheur dans un bouquet de fleurs acheté le dimanche matin au marché sur le quai de la Saône. Comme était électrique l’avenir dans tes yeux lorsque je t’embrassais sous le ciel cobalt de Lyon entre les chemins du Parc de la Tête d'Or où les roses fleurissaient et le Rhône chantait la hauteur des Alpes. Nous avons regardé les feux d'artifice sur Fourvière embrassé “entre nous” dans une soirée de Juillet tandis que la foule chantait l'hymne «mundial» (C’était en 98 et la grandeur était à son apogée). Quand était doux le frisson de beaujolais comme les Lumières dansantes en suspension dans l'air de la place des Terreaux. Le temps se dilate dans la mémoire et il revient des plis de l'âme l’agréable roman d’amour. |