23 novembre 2016
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Dédié à la poétesse, essayiste et amie Jin Siyan.
C’est le passage du silence,
L’heure des hautes solitudes,
Où d’énigmatiques signes nocturnes
Calligraphient d’inexplicables paysages,
Sur les replis diaprés
De rêves transparents.
C’est le passage du silence,
L’heure des longues solitudes,
Où doucement s’efface
La silhouette de la lune.
©Michel Bénard.
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