11 octobre 2016
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Oeuvre en titre : « Mesure du Temps de l'Histoire » sculptures de Ode©
Survivre des nuits à attendre tes jours
Où s'acharne l'absence
Où la vie n'est que journées sans fin
Qui s'allongent une à une
Où s'acharne l'absence
Où la vie n'est que journées sans fin
Qui s'allongent une à une
Seul l'espoir du retour prochain
Traverse le champ de mon âme
À bout de souffle
À bout de marche
En quête de nous
Ensemble
Traverse le champ de mon âme
À bout de souffle
À bout de marche
En quête de nous
Ensemble
Imminent ce jour annoncé
Heureux et mystérieux secret
En quête d'un miroir qui te reflète
Nous reflète en mille facettes
Luminosité du vitrail
Rosace de notre cathédrale
Heureux et mystérieux secret
En quête d'un miroir qui te reflète
Nous reflète en mille facettes
Luminosité du vitrail
Rosace de notre cathédrale
Palpitation des instants
Mugissement du présent
Du roc des amours belles
Aux granules du sable des plages
Des hautes marées de peines
Aux hautes marées de joie
Mugissement du présent
Du roc des amours belles
Aux granules du sable des plages
Des hautes marées de peines
Aux hautes marées de joie
Et tu me conduiras au rythme des saisons nouvelles
Au rythme des soleils et des lunes
Jusqu'à l'infini point de fuite
Jusqu'à l'ultime frontière du temps
À basse marée des silences
À basse marée des sens
Et dans la mer bleue des passions
Nous y baignerons
Au rythme des soleils et des lunes
Jusqu'à l'infini point de fuite
Jusqu'à l'ultime frontière du temps
À basse marée des silences
À basse marée des sens
Et dans la mer bleue des passions
Nous y baignerons
Nous mesurerons le temps
À la démesure des marées
Et à la mesure de nos amours
Afin de mieux goûter notre bonheur
Car les aiguilles du pendule sont folles
Et font fuir les précieuses heures
Comme rivières se jetant dans le grand fleuve
Pour s'y noyer à jamais
À la démesure des marées
Et à la mesure de nos amours
Afin de mieux goûter notre bonheur
Car les aiguilles du pendule sont folles
Et font fuir les précieuses heures
Comme rivières se jetant dans le grand fleuve
Pour s'y noyer à jamais
Et que veille l'affective mémoire
À la stèle du temps
Moments heureux inscrits
En nous d'éternité
Et que veille le feu permanent de la lampe
Au chevet de notre ensemble
D'un seul tenant
Dans le pas heureux des jours, soudé
À la stèle du temps
Moments heureux inscrits
En nous d'éternité
Et que veille le feu permanent de la lampe
Au chevet de notre ensemble
D'un seul tenant
Dans le pas heureux des jours, soudé
Ode©
27 mars de l'An Deux
http://zodode.5.50megs.com/CS/mesurtem.htm
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