16 octobre 2016
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L’ombre roule et se fane
comme un rêve effrayé
s’enfuit de la maison…
L’image retrouve le geste
dans le corps inconnu
de la nuit qui s’éveille…
alors commence la métamorphose
de la transparence et de l’obscur…
… tumulte silencieux
qui protège les heures
à l’abri du soleil…
Etranges nuées
qui précipitent les chants
sur la ligne infinie
où se mêlent
comme les lèvres d’un baiser
la vie et la mort
dans le lit du sommeil…
©Victor Varjac
Antibes, août 1997
Extrait de « LE CHEMIN DES RÊVES » aux éditions Chemins de Plume
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