30 août 2016
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Oeuvre en titre : « Elle II » sculpture porcelaine de Ode©
Je te tiens là au creux de mon être
Mon corps est ton réceptacle
Mon âme, le tendre tabernacle
Au clair printemps, le rêve se fera chair
Sensuelle joie à la promesse des attentes
Récompense aux heures habitées par l’absence
Espérance au coeur des jours !
J'ai remis la fibule à ma hanche
Le semainier à ma cheville
Telle la clepsydre il compte les heures de ton retour
Mes doigts tissent les fils d’ors de nos amours
Je te garde la primeur de l’oeuvre
Toi seul verra, touchera la pure offrande
Toi seul, mon tendre fontainier, trouvera la source
Qui jaillira de notre commune ivresse
Tu l'entendras chanter au fond de ton coeur
Sous les feuillages sombres du songe
Montera le désir de chair et de sang
Sur le grand Fleuve des vertiges tu m’emporteras
À rebours de nos amours nous remonterons
Le cours des temps perdus où nous étions séparés
Nous en repriserons les étoffes trouées par nos larmes
La souffrance ne sera plus, tes yeux me verront
Des épines et des ronces jailliront la Beauté
Je te tendrai la main, tendrement t’embrasserai
Qu’arrive le clair printemps de la vraie constance
Au coeur des amants trop longtemps séparés
Qu’arrive ces précieux moment, ô toi, mon beau souci
Notre amour ouvrier sera couronné après tant de batailles
Et malgré l’adversité, il vaincra plus fort que jamais
Je t’en fais la promesse aux odeurs des encens les plus précieux
Ode©
19 janvier 2004
http://zodode.5.50megs.com/CS/cantique_V.htm
Mon corps est ton réceptacle
Mon âme, le tendre tabernacle
Au clair printemps, le rêve se fera chair
Sensuelle joie à la promesse des attentes
Récompense aux heures habitées par l’absence
Espérance au coeur des jours !
J'ai remis la fibule à ma hanche
Le semainier à ma cheville
Telle la clepsydre il compte les heures de ton retour
Mes doigts tissent les fils d’ors de nos amours
Je te garde la primeur de l’oeuvre
Toi seul verra, touchera la pure offrande
Toi seul, mon tendre fontainier, trouvera la source
Qui jaillira de notre commune ivresse
Tu l'entendras chanter au fond de ton coeur
Sous les feuillages sombres du songe
Montera le désir de chair et de sang
Sur le grand Fleuve des vertiges tu m’emporteras
À rebours de nos amours nous remonterons
Le cours des temps perdus où nous étions séparés
Nous en repriserons les étoffes trouées par nos larmes
La souffrance ne sera plus, tes yeux me verront
Des épines et des ronces jailliront la Beauté
Je te tendrai la main, tendrement t’embrasserai
Qu’arrive le clair printemps de la vraie constance
Au coeur des amants trop longtemps séparés
Qu’arrive ces précieux moment, ô toi, mon beau souci
Notre amour ouvrier sera couronné après tant de batailles
Et malgré l’adversité, il vaincra plus fort que jamais
Je t’en fais la promesse aux odeurs des encens les plus précieux
Ode©
19 janvier 2004
http://zodode.5.50megs.com/CS/cantique_V.htm
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