2 mai 2016
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J’ai laissé ma belle patrie lointaine,
J’ai laissé mon triste amant en peine.
J’ai vu avec mélancolie les années s’écouler,
Que de larmes versées et d’espoirs dérobés.
Toi mon pays, je rêve de tes eaux limpides,
Tes légendes, ta beauté abstraite et fluide.
Ta brousse tropicale, ton folklore, tes images,
Tes jours ensorcelants et tes nuits sans nuage.
Toi mon amour, je pense à tes caprices rêveurs,
Tes délices, tes baisers et tes espoirs de bonheur.
Je rêve de ta peau d’ébène, de tes mains et de tes yeux.
Je te désire, te caresse, c’est ça que je veux.
Tout se dévoile comme de sublimes images.
Votre absence me peine, il me faut du courage.
Et à vous deux, je renouvelle que je vous adore.
De toi patrie, je me souviens même quand je dors.
Avec un tel amour, je prélude mon espoir.
Un beau jour naîtra le délice de vous revoir.
©Nancy Turnier-Férère
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