26 avril 2016
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06:35
Création Ode©
Les mots boudent
Les jours sombrent
et
mon cœur se débat
Les murs
des saisons défilent
et
tombent les pierres dressées
~*~
Levée à l’aube
Avant même
que le soleil froid
ne se lève
Il froidure dehors
Il frissonne en moi
La vie se précipite
Le temps se contracte
Du lever au coucher
Du coucher au lever
L’espace d’un souffle
Tout se bouscule
Hier, il y avait une petite fille
Que sera-t-elle demain ?
C’est le chaos planétaire
Je me réfugie en toi
Toi, ma Terre Promise
Mon Compagnon du Fleuve
Je porte en moi ton ombre
Je te garde au chaud
Les pieds sur ma terre gelée
Qui se couvre déjà de blanc
L’hiver, le long hiver
est à ma porte
Les arbres sont squelettiques
Plus une feuille au sol
La table est mise
Pour le grand banquet
des glaces et des tempêtes
~*~
Et je reprends le fil
de mes pensées
J’habille mon âme
de chaleur
...
Pour la survie
Par la fenêtre
en ombres chinoises
sur fond de ciel orange
arbres dénudés
et sapins géants
Rien ne bouge
Tout est silence
De ces silences dentelés
comme vitrail ancien
Tout se succède
Tout recommence
Il ne faut rien regretter
Jamais
Il me reste toi
Ma Promesse Antique
venu du fond des âges
pour m’apprendre
l’horizon des choses
~*~
Le ciel est jaune
tournoyant au bleu
Les ombres chinoises
se retirent
Dans la naissance du jour
Annonce d’une belle journée
froide
Et
Je viens vers toi
me réchauffer
Vers toi
Ma Terre Promise
Ode©
24 novembre 2008
Les jours sombrent
et
mon cœur se débat
Les murs
des saisons défilent
et
tombent les pierres dressées
~*~
Levée à l’aube
Avant même
que le soleil froid
ne se lève
Il froidure dehors
Il frissonne en moi
La vie se précipite
Le temps se contracte
Du lever au coucher
Du coucher au lever
L’espace d’un souffle
Tout se bouscule
Hier, il y avait une petite fille
Que sera-t-elle demain ?
C’est le chaos planétaire
Je me réfugie en toi
Toi, ma Terre Promise
Mon Compagnon du Fleuve
Je porte en moi ton ombre
Je te garde au chaud
Les pieds sur ma terre gelée
Qui se couvre déjà de blanc
L’hiver, le long hiver
est à ma porte
Les arbres sont squelettiques
Plus une feuille au sol
La table est mise
Pour le grand banquet
des glaces et des tempêtes
~*~
Et je reprends le fil
de mes pensées
J’habille mon âme
de chaleur
...
Pour la survie
Par la fenêtre
en ombres chinoises
sur fond de ciel orange
arbres dénudés
et sapins géants
Rien ne bouge
Tout est silence
De ces silences dentelés
comme vitrail ancien
Tout se succède
Tout recommence
Il ne faut rien regretter
Jamais
Il me reste toi
Ma Promesse Antique
venu du fond des âges
pour m’apprendre
l’horizon des choses
~*~
Le ciel est jaune
tournoyant au bleu
Les ombres chinoises
se retirent
Dans la naissance du jour
Annonce d’une belle journée
froide
Et
Je viens vers toi
me réchauffer
Vers toi
Ma Terre Promise
Ode©
24 novembre 2008
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