20 mars 2016
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Comme il m'est doux de pleurer,
La nuit quand mon coeur plein de douleur
Chuchote à mon oreille,
Des mots de peur, des mots d'enfer
Vidée, le visage en catastrophe :
Ne plus se cacher,
Laisser échapper de ses yeux
Sa poésie d'amour
Enfin pure, vraie, nue :
Soulagée de tout mensonge
Comme il m'est doux de pleurer
Car ma tristesse n'attend plus alors
Qu'une larme essuyée
Pour effacer les regrets
Et croire aux lendemains
Se dorloter, se cajoler, s'attendrir
Sur son petit rien chagrin
Les souvenirs bougent s'agitent
Un frisson, deux frissons, tout redevient présent
Comme il m'est doux de pleurer
Et je ne veux pas d'un matin
Aux yeux secs et absents
Alors que sur mon oreiller
La pluie n'est pas tombée
© Florence Issac
La nuit quand mon coeur plein de douleur
Chuchote à mon oreille,
Des mots de peur, des mots d'enfer
Vidée, le visage en catastrophe :
Ne plus se cacher,
Laisser échapper de ses yeux
Sa poésie d'amour
Enfin pure, vraie, nue :
Soulagée de tout mensonge
Comme il m'est doux de pleurer
Car ma tristesse n'attend plus alors
Qu'une larme essuyée
Pour effacer les regrets
Et croire aux lendemains
Se dorloter, se cajoler, s'attendrir
Sur son petit rien chagrin
Les souvenirs bougent s'agitent
Un frisson, deux frissons, tout redevient présent
Comme il m'est doux de pleurer
Et je ne veux pas d'un matin
Aux yeux secs et absents
Alors que sur mon oreiller
La pluie n'est pas tombée
© Florence Issac
"Juste un peu d'Amour avant la fin"
Editions "L'Echappée Belle"
91 pages
Monique Vincent
Editions "L'Echappée Belle"
91 pages
Monique Vincent
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