5 novembre 2015
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Ferdinand Georg Waldmüller
En te faisant la bise,
Je pense à ta bouche qui n’est pas loin.
Sous un ciel moqueur
Puisqu’il a deviné mon jeu coquin.
La saveur de tes joues
Me donne un avant-goût de tes lèvres
Bien dessinées et d’un arôme
Que je présume divin.
Elle me hante, elle m’obsède
Cette partie de toi
Où l’amour jaillit,
Comme l’eau d’une fontaine
Qui étanche les cœurs.
Oui, je l’aurai mon petit cadeau
Aujourd’hui ou demain,
Je l’aurai pour rassasier mon âme de petit gamin.
©Kacem Issad
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