7 septembre 2015
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William-Adolphe Bouguereau
Tu me réclames et sans me faire prier
J’accueille ta passion séduisante
Je moule ce suave précieux joyau
Qu’est cette parure alléchante
Qui me désaxe et me trouble l’âme
Je sens que tu m’aimes
À l’éveil d’un matin fécond
Je te retrouve paré et docile
Tu me fredonnes et me tonifies
Des chants triomphants de ta lyre
Ô combien tu me plais
Sens-tu que je t’aime
Soudain le reflet d’un halo lumineux
Dans tes yeux me paraît sublime
Les régals de notre bonheur fervent
Nous emportent vers un karma divin
Et nous inondent d’abondants délires
C’est la grande joie vénielle extériorisée
Preuve éclatante d’amour partagé
©Nancy Turnier-Férère
(L’Amour Bleu 2009)
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