26 mai 2015
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07:08
© Stas Dyshlov
J’ai voulu fuir au bout de toi
Une fugue, une fuite
Au bout de mon âme
Une fugue en D’O majeur
J’ai fugué vers des contrées accueillantes
Vers mes grandes eaux, vers mes rapides
Tu es là, toujours là en moi
En périodes successives, lentes, rapides, lentes
Allegro, andante, allegro
In vivo
Une Sonate
Toi, ma Sonate
Ma Sonate en D'O majeur
Ton violon joue dans ma tête
Éveille le désir en mon corps
Ma Sonate printanière
Ma Musique, comme l’éclair de l’orage
Comme les stigmates de l’amour
Comme tempêtes de rêves
Comme le bleu de la nuit
Comme abîme du désir
Comme feu d’horizon
Brûlante comme l’attente
Tu fais tourner mon âme
Sous l’aile de l’archet
Je te vois avancer
Tel l’Oiseau bleu
Dans le silence ensorcelé
De mon Fleuve complice
Vision de joie, d’éternité
Je goûte le sel de mes larmes
Tel un baume à mon âme
Telle l’essence du dictame
Ma Sonate espérée
Je te vois approcher sur les ailes du vent
Pourras-tu vaincre l’imaginaire qui m’habite
De mon enfance, de mon âge qui me surprend
À trouver que rien ne va assez vite
Il y a tellement de temps
Que je t’attends
Ma Sonate tant aimée…
Une fugue, une fuite
Au bout de mon âme
Une fugue en D’O majeur
J’ai fugué vers des contrées accueillantes
Vers mes grandes eaux, vers mes rapides
Tu es là, toujours là en moi
En périodes successives, lentes, rapides, lentes
Allegro, andante, allegro
In vivo
Une Sonate
Toi, ma Sonate
Ma Sonate en D'O majeur
Ton violon joue dans ma tête
Éveille le désir en mon corps
Ma Sonate printanière
Ma Musique, comme l’éclair de l’orage
Comme les stigmates de l’amour
Comme tempêtes de rêves
Comme le bleu de la nuit
Comme abîme du désir
Comme feu d’horizon
Brûlante comme l’attente
Tu fais tourner mon âme
Sous l’aile de l’archet
Je te vois avancer
Tel l’Oiseau bleu
Dans le silence ensorcelé
De mon Fleuve complice
Vision de joie, d’éternité
Je goûte le sel de mes larmes
Tel un baume à mon âme
Telle l’essence du dictame
Ma Sonate espérée
Je te vois approcher sur les ailes du vent
Pourras-tu vaincre l’imaginaire qui m’habite
De mon enfance, de mon âge qui me surprend
À trouver que rien ne va assez vite
Il y a tellement de temps
Que je t’attends
Ma Sonate tant aimée…
©Ode
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