16 mai 2014
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Je pars, être léger et tu gémis
sur la sinusoïde des valses lentes
tu as pianoté mon souffle d'amante
et tu pleures et tu me maudis.
Tu disais que le temps du cœur n'est pas linéaire
tantôt se dilate, tantôt se contracte puis s'en va,
jamais ensemble nous n'accordions nos pas
cette nuit, mon cœur las enfourche vague amère.
© Claire Prendkis
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